Je n’aime pas Jancovici. Je l’ai lu pendant des années. Au début, ses graphiques et ses hypothèses sur le pic pétrolier m’ont semblé pertinents. Puis, à force de l’écouter, je me suis aperçu que son discours se radicalisait. Quand il a finalement percé sur la scène médiatique, j’ai compris qu’il avait vendu son âme à Klaus Schwab et à son acolyte, le Nouvel Hypocrite (l’acteur) : Charles III !
Jancovici m’a toujours paru énervé, provocant, et surtout, il pense qu’il a toujours raison, que nous allons tous mourir. C’est un ingénieur, et comme tous les ingénieurs, il ne pense qu’en terme de système. J’en ai côtoyé plusieurs dans ma carrière. Les ingénieurs sont nécessaires. Mais là, on a affaire à de la politique et de l’idéologie. Que l’énergie nucléaire soit dangereuse, certes. Mais on ne peut tout de même pas penser que l’essor de la France dans les cinquante dernières années n’a pas été du exclusivement à l’énergie nucléaire. J’ai travaillé pendant 33 ans pour Hydro-Québec. Durant les années quatre-vingt-dix, les écolos prétextaient que l’énergie hydroélectrique était polluante. Maintenant, on est passé à un autre « bonhomme sept heures » pour effrayer les petits enfants, ceux qui refusent de penser par eux-mêmes ! Jancovici est ce bonhomme sept heures ! Il parle sans jamais faire de pause, sans jamais nuancer ses propos ; un vrai lobbyiste qui tente un « pitch » de vente auprès des grands industriels. Tous ces anthropoclimatocatastrophistes thunbergiens sont des hystériques (au sens de Freud) que je n’écoute plus. Je me concentre sur les personnes rationnelles (tous ceux qui ont été excommuniés des grands médias de masse lors de l’arnaque COVID) qui ne parlent pas pour faire le buzz.