L’internet tout entier fut mis sur pied conjointement par l’état profond anglo-USioniste et ses multinationales associées pour pister, essentiellement, et la plupart des sites dits de dissidence furent placés dès le départ pour attirer les amateurs et les récupérer. Tout ce que la France fait de nouveau en la matière c’est réclamer sa part du gâteau.

Au début l’internet consistait en une interconnection de tous les gros ordinateurs IBM, Univac et autres en un système de surveillance unique par les gens du complexe militaro-industriel, de manière à intégrer tous les gros fichiers constitués avec les clientèles des multinationales. Ensuite l’appât du gain fit que des entrepreneurs en agences de rencontre et en réseaux de prostitution furent autorisés par les militaires à joindre leur liste d’abonnés. La multiplication des micro-ordinateurs personnels relativement bon marché permit aux informaticiens d’échapper pour un temps à la surveillance globale de toutes les machines par l’armée judéo-saxonne. Alors comme il fallait vendre cette surveillance en tant que privilège plutôt qu’en tant que contrainte on mit en marché Internet pour élargir ce pouvoir de surveillance à un ensemble d’entreprises beaucoup plus grand. La surveillance visait en premier lieu les entreprises non multinationales et non liées au système mondialiste à attaquer en bataille économique rangée à l’échelle planétaire : ce fut une des raisons de l’arrêt brusque de l’irrésistible croissance industrielle japonaise vers 1995. En deuxième lieu toutes les organisations de gauche classique liées au monde ouvrier qui subirent de plein fouet une vaste action concertée de censure et de piratage tandis que pour un moment toute la latitude fut donnée à la contestation droitière et aux théories conspirationnistes mettant en vedette des extra-terrestres.