Affaire Balenciaga, une énième banalisation de la pédocriminalité
6 décembre 2022 20:21, par jenaivudestaocards
J’ai passé deux ans à fréquenter François-Henri Pinault entre 1977 et 1979 au lycée Saint-Vincent à Rennes, ville à côté de laquelle il vivait chez sa mère, la première femme de François Pinault son père. Son père était déjà riche et influent et, contrairement à ce qu’ils racontent tous les deux aujourd’hui, son père l’avait déjà destiné à lui succéder, sans doute parce qu’il était le moins stupide et surtout le plus malléable de ses enfants. François-Henri Pinault était roux, grand, laborieux en études (un précepteur s’occupait de lui chez sa mère où il rentrait le soir en taxi) et plutôt timide sans le moindre charisme. Toujours très bien habillé avec des tenues à foison (son père possédait Printemps à l’époque), il passait les récréations sous l’œil de nos chers curés à jouer au poker avec d’autres fils de grands bourgeois locaux, dont l’un de ses meilleurs camarades fils de dentiste pied-noir et activiste au ...Front de la Jeunesse (qui correspondait aux jeunes du Rassemblement National aujourd’hui, ou plus sûrement aux jeunes accompagnant Zemmour...) ! Cela laissait la place aux mecs comme moi pour draguer les filles. Merci François-Henri, si tu savais ce que tu as raté à l’époque... François-Henri Pinault a ensuite fait sa terminale à Henry 4 à Paris, puis prépa HEC, puis HEC, puis son service national dans l’entreprise de Papa à New-York, etc. Donc, pour résumer, sans papa ce mec n’est rien, tout le monde le sait dans le business, il n’a aucun tempérament et il est donc un objet très facile à manipuler, ce que tout le monde sait aussi, à commencer par sa femme officielle au profil pas ’pourri des vers" non plus.