La galinette qui se plaint de s’être faite violer à chaque fois qu’elle se rend à une invitation du même homme, et bien elle a le droit de voter... Je vous demande de méditer quelques minutes aux conséquences de ce simple constat.
De la dinde dont le maigre bagage logique est anéanti par des émotions négatives, il y en a des armées entières. Si on rajoute l’ancêtre débile submergé par la peur et prêt à prostituer les jeunes pour avoir 20 euro de plus sur sa pension de retraite trimestrielle, on arrive déjà mieux à comprendre un banquier à l’Élysée.
Regrets et remords envers les hommes pour la féministe, peur de tout pour le retraité, colère pour le travailleur qui se fait exploiter, haine pour l’Ukronazi, fierté inventée pour l’immigré algérien, amour maternel dévoyé sur des chats pour la végan, caprice pour les nouvelles (dé)générations, tout le monde est tenu par ses émotions, voilà le prix à payer pour le statut social de l’élite putassière occidentale.