« Tout cela était savamment orchestré... »
...Comme sa conscience politique qui s’est éveillée lors du premier tour de l’élection présidentielle de 2002.
Voyant Jean-Marie Le Pen accéder au second tour, il a organisé une grande marche blanche qui a réuni plus de 1.000 personnes. Quand il a vu tout ce monde, ça lui a « donné des frissons ».
Le jour de sa majorité, le 5 mai 2002, Jacques Chirac est réélu avec plus de 82% des voix. Il est devenu adhérent à l’UMP en 2004.
Après avoir été directeur d’une association d’insertion professionnelle, il se présente pour la première fois aux élections cantonales de 2011 à Nanterre, sous l’étiquette UMP, terminant seulement à la 5ème place au premier tour, avec 7,08% des suffrages exprimés.
Il devient attaché parlementaire de Valérie Pécresse.
Eric Ciotti l’a nommé porte-parole du parti pouvant lui ouvrir quelques horizons à partir de 2026.
Cela en fonction des suites données à la plainte, avec constitution de partie civile, de l’association Anticor pour « favoritisme, détournement de biens publics, prise illégale d’intérêts et trafic d’influence » concernant des « montages financiers liés à deux importantes opérations immobilières menées à L’Haÿ-les-Roses », « Cœur de ville » et « Locarno », entre 2014 et 2017.
Il lui est reproché d’avoir stoppé un projet d’aménagement avec l’entreprise Valophis au profit de Citallios, alors même qu’il entretenait des « liens étroits » avec son directeur, également aux Républicains...