Pour les Anglais, l’ancienne Angleterre de la Réforme, de Shakespeare de Dickens, de Cobbett et de ce magnifique héritage chrétien que Merle d’Aubigné admirait tant chez les Britanniques a été détruite par l’esprit mercantile qui à partir de 1660 a dominé les classes moyennes, cela dès le règne du roi Charles II.
L’influence de la Banque d’Angleterre (fondée en 1694), associée à la rapacité de l’alliance de l’Aristocratie avec la grande bourgeoisie, a détruit l’ancienne Angleterre qui défendait encore les libertés (au pluriel) propres au Moyen Âge, propres aux différentes classes (non égalitaires) de la société.
Tout cet héritage d’une société où ces libertés étaient propres des différents courants de la société qui y cohabitait harmonieusement, disparut avec la domination radicale des Rothschilds sur toute la politique anglaise dès la victoire de Waterloo, et qui consolidèrent leur pouvoir sur l’Empire anglo-américain jusqu’à aujourd’hui.
Cette domination des Rothschilds connut un appui religieux d’une partie de la tradition Puritaine, puis Darbiste qui ont rêvé d’un règne de mille ans juifs qui dominerait le monde.
C’est là, le philosémitisme protestant, plutôt le philo-rotschildisme, qui domine la politique anglo-saxonne encore maintenant. »