Il ne faut avoir aucune pitié des médiocres, et leur faire comprendre très tôt où est leur place. Le système qui récompense au mérite est le meilleur pour ce faire.
Le médiocre ne pense en effet qu’au pouvoir, qu’à régler des comptes, qu’à se faire valoir.
La Nature l’a conçu médiocre, ou bien par paresse il est devenu médiocre (ignorant).
S’il n’est pas arrêté dans l’unique élan qui le porte (écraser meilleur que lui) il créera l’enfer sur Terre en prenant la place qui revient au meilleur dans la loi naturelle.
La caractéristique principale du médiocre, c’est qu’il ne pense qu’au pouvoir.
Le bon est par nature doué d’empathie et de compréhension. Il est aussi doué de force. Qu’il ne se laisse pas dominer par le médiocre (ou faible !). Il condamne le meilleur de lui-même et de sa progéniture.
Un détail : ce chien-loup de The Thing est bien sympathique et bien esthétique. Le médiocre n’y parvient pas. Même bien fringué, sa laideur intrinsèque et l’ennui profond qu’il inspire refont surface.
Et puis souvent, le médiocre est taré quelque part.
Chez les cervidés, l’animal taré a-t-il une place ? Il faudra se battre à mort pour procréer. Que devient l’animal taré ?
Rien du tout.