Quand l’homme européen capitule : la médiocrité comme destin et maladie
15 février 2024 23:17, par Untel
J’ai cessé le visionnage après 12 minutes de platitudes quand il est dit que la dépression est une conséquence de la paresse...
En gros, chaque individu serait totalement autonome et par là même entièrement maître de son destin et de son rapport au monde par la simple force de sa volonté personnelle. Exit les déterminismes historiques, biologiques, génétiques, les carcans sociaux à un instant donné qui rendent tout cela illusoire. Nietzsche est vraiment un des pires produits du philosophisme narcissique de ces deux derniers siècles. Beaucoup de blabla en occultant l’essentiel.