Cet article est éhontément élitiste. A partir d’une analyse financière qui peut être correcte ou incorrecte, les auteurs nous expliquent que les solutions apportées par la zone euro à ses problèmes sont les bonnes et commencent à porter leurs fruits.
Peut-être est-ce le cas, mais le volet humain est totalement ignoré, voire méprisé : "quelques milliers de grecs" ne valent pas grand chose devant leurs "élites" qui se plaignent de la corruption de leurs dirigeants. L’article ne dit pas non plus qui a payé de sa poche les renflouements grecs.
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