À la fin de la guerre de Tsahal (surarmé) contre le peuple de Palestine (civil) et sa résistance (armée de kalash seulement mais mieux entraînée et mieux convaincue de sa cause), on aura un récit occidental où il y aura d’un côté le monstre incarné par le Palestinien et la victime sioniste. On aura également un chiffre sacré et consacré des victimes juives dont le nom sera inscrit sur le marbre de Yad Vashim. Senouar, le chef de la résistance palestinienne sera l’équivalent de Hitler dans le nouveau récit et on aura le récit des otages tatoués par les monstres des camps de concentrations érigés par les Arabes de Palestine. Le tout sera scellé par une lois scélérate française comme celle dite loi Gaysot. On l’appellera peut-être la lois Emanuel Valls ou mieux encore la loi El Blanco. Il y aura des films sur le récit des victimes, primés dans tous les festivales. Et des romans autobiographiques genre journal D’Anne Habib, rescapée des camps palestiniens et proche parente de Mayer Habib (sa fille peut-être). Ceci n’est pas une fiction, mais une prospective.