Pour ceux qui veulent entretenir l’espoir, c’est mal barré avec les peuples européens qui ne pensent qu’au maintien de leur pouvoir d’achat pour continuer à vivre selon les standards du niveau de vie occidental. Résister à l’immigration-invasion, c’est refuser qu’on inscrive le droit inaliénable à l’avortement dans la constitution ; c’est renoncer à partir en vacances et au bien-être matériel pour consacrer une partie de son budget à élever un ou deux enfants supplémentaires ; c’est la volonté de sacrifice de soi pour provoquer le renouveau d’une France dans un sursaut nataliste et vitaliste propre à faire exploser les chiffres de la natalité française , seul moyen de créer un rempart infranchissable à la submersion migratoire qui menace tout le continent. Macron annonce certaines choses car les serviteurs de l’oligarchie en ont le devoir, au moins une fois. Le monde d’après, c’est celui de la tribulation car “la bête de l’événement est là, et elle arrive”. Il faut défier la mort de la civilisation indo-européenne en transmettant la vie pour que soit assurée la sauvegarde à tous ces trésors qui sont menacés par l’immigration voulue et organisée par les maîtres du chaos qui rêvent d’un grand remplacement à l’échelle d’un continent qui sera dominé par une oligarchie ayant su se préserver en partie de certaines formes de métissage. La négation de l’existence des races au nom du vivre ensemble , la dévaluation des apports culturels et civilisationnels de l’homme européen, la culpabilisation des masses à travers la condamnation incessante de la colonisation, constituent les ressorts d’une entreprise de dénigrement de l’identité européenne qui conduit les peuples à encenser les arts premiers , à déconsidérer leur propre culture pour accorder la suprématie à celle des peuples envahisseurs. L’Européen est un idiot utile du système capitaliste qui l’a formaté pour l’accoutumer à un mode de vie consumériste lui ayant inculqué des réflexes comportementaux enfouis au plus profond de son inconscient le poussant à se réfugier dans le déni au moindre danger pouvant être ressenti comme un signe avant-coureur de nature à l’éloigner de sa zone de confort. En cas d’avancée de l’armée russe vers l’ouest doublé d’un faux drapeau , si l’Européen perçoit que son mode de vie risque d’être impacté par des privations que l’homme moderne ressent comme autant d’humiliations, il ira mourir pour Kiev plutôt que de refouler des clandestins