Elon, comme toutes les célébrités quasiment, change de femme comme de chemise.
Les enfants des femmes quittées ou parties voient moins souvent leur père, et dans des conditions qui souvent leur déplaisent : il est avec une nouvelle femme, la belle-mère, plutôt mal acceptée en général.
Ce sont des coutumes orientales ou africaines de satrapes, plaquées sur la société européenne encore chrétienne dans ses valeurs fondamentales, qui s’en accommode mal. D’autant plus que ces riches donnent le ton, et que le moindre couple de salariés smicards se met au diapason.
Les enfants ne parviennent pas à se construire une personnalité. Tout les indiffère. Ils écoutent alors n’importe quel charlatan.
Les gens célèbres ou bien pourvus doivent faire éduquer leurs enfants dans des pensionnats sévères où ils devront faire travailler leurs mains autant que leurs neurones. La vie facile, le luxe quotidien, plus l’abandon parental, c’est le chemin vers l’indiférence, puis l’indifférenciation, la drogue, la suggestibilité, l’anorexie, etc. Le goût de la mort, en fait.
Autre chose : dans un monde injuste et surpeuplé d’andouilles, de menteurs et de flemmards, un jeune tout neuf et bien né (sincère, sens de la justice, désir de vérité) se sent mal.
Si son père l’a trahi quelque part, il fera tout pour lui déplaire. Si sa mère l’a élevé, il voudra ressembler à sa mère.