Sophie Audugé, porte parole de SOS Éducation et Christelle Comète, porte parole des Mamans Louves mettent en lumière les aspects négatifs de l’éducation à la sexualisation chez les enfants de maternelle et primaire au sein de l’Education Nationale sous tutelle des pédocriminels de l’OMS.
Cependant, leurs propos restent ambigus ! et laissent à penser que l’éducation sexuelle à l’école est nécessaire.
C’est NON ! On leur fout la paix. Un enfant ne se pose pas les questions que les adultes pervers et détraqués se posent.
Je rejoins complètement les propos de Diane Richard des Dépêches Citoyennes, d’Ariane Bilheran, de Virginie Araujo-Recchia et tant d’autres qui nous expliquent que l’éducation à la sexualisation pour les enfants, et quel que soit l’âge, est un viol psychologique !

Merci les Dépêches Citoyennes de pointer du doigt les double-discours de ces associations censées protéger nos enfants.
Ces intervenants, extérieurs aux écoles, ne doivent pas pénétrer au sein des établissements scolaires alors que ni les enseignants et ni les parents ne connaissent les propos qu’ils tiennent devant les enfants et quand ils interviennent.
Ces intervenants risquent des poursuites devant les tribunaux car les thèmes qu’ils abordent violent le code civil, le code de la santé et la convention internationale des droits de l’enfant.
Dehors la clique de Bill et Kinsey, le pédocriminel qui a inspiré les standards techniques sur la sexualité de l’OMS et qui font leur entrée dans l’Education Nationale !
Laissez nos enfants apprendre tranquillement et vivre leur vie d’enfant.
Clotilde