Je laisse la coquetterie aux femmes et encore avec modération. Le moins que l’on puisse dire est que ces trois spécimens ne sont pas très virils.

C’est d’élégance dont il doit être question. Chacun à sa manière, selon son temps et ses moyens.
La laideur de notre époque affecte les corps : démarches de traîne-savates en claquettes-chaussettes et joggings, colonne vertébrale convexe et torse concave, tatouages multiples et hasardeux, piercings, bouffissures générées par la malbouffe, langage indigent issu de la téléréalité... Liste à compléter.

Une partie de ce monde s’écroule victime de sa propre infamie. Je veux croire que tous ces adeptes de marques de sport et autres américaneries, n’en sont pas tous conscients.

Notre époque est avilissante pour qui se laisse embrigader.