Collaro, c’est l’équivalent "soft" de Hanouna à l’époque. Du Pipi-Caca-Popo qu’une moitié de la France trouvait vulgaire, pendant que l’autre moitié se fendait la gueule devant la "transgression" libertaire.
La communauté était déjà bien installée à tous les postes clés, mais elle restait relativement discrête, attendant son heure, mais faisant déjà son boulot de déliquescence, et affermissant toujours plus son emprise sur les médias et la propagande. La plupart des gens ne s’en rendaient pas compte ; d’ailleurs certain ne s’en rendent toujours pas compte, la larme à l’oeil en pensant à Zitrone ou Drucker.
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