La fraude bat son plein partout aux USA :
Dans certains bureaux de vote du Kentucky, lorsque l’électeur sélectionne Donald Trump sur écran, le nom du candidat qui se coche est celui de Kamala Harris. L’électeur voit son vote Trump validé en Harris. Les vidéos circulent sur la toile, au vu du monde entier.
En Pennsylvanie, le bureau du procureur vient de découvrir que 70% des votes par correspondance, au profit de Kamala Harris, proviennent d’électeurs fantômes.
Toujours en Pennsylvanie, dans le district de Lancaster, où les bureaux de vote sont censés ouvrir jusqu’à 17 heures, des personnes non employées par la municipalité mais munies de badges, renvoient les votants chez eux et ferment les points de vote dès 13h45, afin de casser la très forte mobilisation pro-Trump.
L’équipe de campagne de Trump a saisi la justice, qui a émis un référé obligeant les bureaux de vote de cet État à accueillir les électeurs jusqu’à l’heure légale de fermeture. Les vidéos circulent sur la toile, au vu du monde entier.
La Secrétaire d’État du Colorado, Jena Griswold, qui avait milité pour que Trump ne soit pas autorisé à être candidat à la présidentielle, au prétexte qu’il est un « insurrectionniste », vient de montrer la face sombre de son jeu politique : le site web de son secrétariat d’État du Colorado avait laissé en libre accès au tout-venant, le mot de passe secret permettant à n’importe qui l’accès contrôlant le logiciel de vote et les machines elles-mêmes.
Jena Griswold s’est promptement résolue à sécuriser le code d’accès... 5 jours après que l’affaire fût rendue public. À la question d’un journaliste lui demandant si une enquête indépendante allait faire la lumière sur ce "dysfonctionnement", elle a répondu que son équipe menait l’enquête sur son équipe.
Conclusion : Nul besoin de théories de la conspiration lorsque les élections du "monde libre" ressortissent à ce point de la science fiction. Et ça va donner des cours de démocratie à Poutine, à l’Afrique et à tout le Proche-Orient.