« le coup d’état du 18 brumaire a permis de rompre avec la clique de Rubinstein ». Ce fut pour continuer la même politique révolutionnaire et parachever les acquis de la révolution par d’autres moyens. Bonaparte exporta l’idéal révolutionnaire dans toute l’Europe , inoculant le poison des droits de l’homme au cœur des monarchies européennes par la guerre. Après Waterloo, la France était exsangue. Napoléon a créé avec le code civil les fondements de la société individualiste qui est la nôtre où l’individu est isolé, sans aucun lien autre que celui qui le relie à un état dispensateur de droits. Les corporations unissaient les hommes en vue de la réalisation d’œuvre collectives. Les bâtisseurs de cathédrales en sont le meilleur exemple. Napoléon dont l’action s’inscrivait dans le cadre révolutionnaire avait eu cette expression : « la révolution est finie » non pas pour s’en dissocier mais parce qu’il en constituait un rouage essentiel pour ancrer dans les profondeurs de l’âme du peuple la société nouvelle où les individus en concurrence les uns avec les autres étaient juxtaposés comme des grains de sable. L’ère napoléonienne marqua la consécration de l’individualisme qui n’est autre que la forme sociologique du capitalisme. Cette société nouvelle ne pouvait se construire que contre la forme d’économie promue par l’Eglise, soit une société organisée en fonctions et non pas en classes avec en prime des Césars locaux qui se comportent en despotes éclairés comme Macron et sa clique de mercenaires de la politique. Cette révolution s’est faite contre le catholicisme et Napoléon en fut l’un des piliers. Son coup d’état bénéficia d’un appui financier inconditionnel de la dynastie des Rothschild dont les affaires nécessitaient de rompre tout lien entre l’Etat et l’Eglise qui était opposée au prêt à intérêt. Napoléon fut réfractaire aux enseignements divins.Pendant la guerre d’Espagne, il installa son frère Joseph sur le trône. Les grognards pénétraient à cheval dans les églises pour y violer les femmes sur les autels, renverser les statues des saints pour y déféquer et finalement y mettre le feu.