Céline avait vu juste. Il dit quelque part (je ne sais plus où) que la France finira comme Haïti.
Le carré de Bambaras et de Wolofs (prêts à agir et entrer en action aux ordres donnés) devant le château de Moulinsart m´horrifie, mais en même temps me provoque une espèce de joie malsaine (et coupable) : "Vous chantiez au temps chaud, et bien dansez maintenant !"
Nous avons laissé nos pires ennemis s’installer chez nous et prendre le contrôle des affaires de la maison. Il était fatal que l’on arrive un jour au résultat actuel.
Il me vient à l’esprit (pour répondre à la question posée dans le texte) les paroles d’une anthropologue qui expliquait pourquoi les nomades (il était question des gitans) salissent les endroits où ils campent, ils convertissent ces endroits dans des décharges et des latrines. Le lendemain, ces nomades quittent les lieux, ils étaient de passage. Par leur comportement ils expriment le mépris pour les sédentaires, et comme ils se considèrent étrangers à tout lien avec les lieux où ils passent, le pays qui les accueille, ça ne leur fait rien de tout salir, de tout polluer, de tout dégrader, de tout souiller. Ce n’est pas chez eux, c’est chez les autres, qu´ils méprisent et haïssent. La merde qu´ils laissent derrière eux est l´expression vraie de leurs plus sincères sentiments à l´egard des sédentaires.
Il y a deux monde opposés : celui des gens qui sont enracinés et celui de ceux qui ne font que passer.
Qui a sali et souillé la France au point extrême auquel on assiste ? Cette volonté de corrompre, de contaminer et de profaner, elle vient d’où ? Cela a été conçu et organisé par des cerveaux nomades. Ça a été voulu. Par qui ? Je vous laisse répondre.