L’horreur en Allemagne : « La digue contre l’extrême droite vient de céder »
31 janvier 18:48, par Liberal conservateurla remigration doit être dédramatisée... Il ne faut pas y voir une guerre civile ni une expression de haine... Elle peut s’effectuer dans l’ordre et le respect des personnes et des biens.
On pourrait par exemple convertir en "titre de séjour spécial" la "nationalité de papier" des immigrés (et descendants). Le but n’est pas de s’en prendre aux personnes (ni à leurs biens) mais de mettre fin à l’utopie multiculturelle. En 24 heures, vous changez l’ordre juridique mais sans rien changer à la vie quotidienne. Les immigrés restent dans leur travail et leur domicile.
Le but n’est pas d’embarquer les gens dans des cars et des bateaux. Le but est de mettre en place les conditions d’un retour au pays progressif de ceux qui n’ont pas vocation à devenir Français (ou Allemands, au Suisses, etc.). Cependant que certains commencent à rentrer au pays pour y prendre leur retraite ou pour y créer une entreprise (en investissant l’argent et les compétences acquises en France), d’autres peuvent continuer de venir séjourner, étudier et travailler ici. Il peut y avoir une circulation en allers-retours. Surtout à l’heure des avons low-cost et autre travail distanciel ou à durée déterminée.
Donc... pas de tragédie à la mad max... Plutôt une reconquista dans la paix et le respect de chacun.
Le fond du sujet est qu’il faut opérer la distinction entre ceux qui veulent devenir français (s’assimiler à notre civilisation, notre religion, nos moeurs, notre langue, etc.) et ceux qui veulent juste travailler, étudier et investir en France. Il faut donc offrir une "facilité de séjour" innovante au plan juridique, qui permette à notre économie de fonctionner et aux immigrés de ne pas craindre de se faire virer du jour au lendemain (sinon, ils sont tentés de demander hypocritement la nationalité).
Ajoutons que le retour des immigrés, formés, instruits et ayant acquis des économies honnêtement en France, permettrait de développer ces pays et d’y créer des entreprises et de la richesse. Ce serait un véritable co-développement.