Angela Merkel n’est plus soutenue par sa propre coalition, l’hystérie gagne l’Allemagne
30 août 2011 02:08, par HervéOuaaahh !! Les Allmoonds !!! Za pète en Allmagneuh ! Ben là les gars ça sent la fin des haricot, ou plus exactement des concombres ! Hahahahaha !!
Pauvres Allemands... Si l’Europe plonge dans la crise de 14, en 18 on leur dira qu’ils en sont seuls responsables, ces fachos ces nazis de boches. C’est sûr il leur faudra des couilles aux Allemands, celles que nous Français eurobéats, nous n’avons pas eues. Que vont penser tous ces fous de l’entente franco-allemande fusionnante au point d’humilier constamment l’image de la France ? Je précise toutefois, je n’ai rien contre les Allemands. Je joue régulièrement aux échecs sur internet avec eux, je dialogue en allmoond avec eux, j’arrive à m’entendre généralement assez bien avec eux, mais jamais je n’aurais appelé à une "double nationalité" ou à un fusionnement. Le Général n’en voulait pas et savait pourquoi. "Sa (la France) souveraineté ne lui appartiendrait jamais plus".
Pourtant le Général n’a-t-il pas signé avec un certain chancelier Adenauer un certain traité de l’Elysée ??????? Mais le traité de l’Elysée impliquait-il de sombrer à nouveau à ce point là dans le collaborationnisme ? Pourquoi, pourtant germaniste, je me suis toujours méfié de "l’entente franco-allemande"(EFA) des européistes ? Pourquoi, en grandissant, la trouvais-je de plus en plus suspecte ? Pourquoi je n’ai jamais cru au socle franco-allemand de l’UE ?
Parce que ledit traité a été selon moi phagocyté d’entrée par l’européisme. En effet en quoi l’EFA est-elle importante pour un Lithuanien ? Un Estonien ? Un Maltais ?
Pour des raisons beaucoup plus personnelles aussi. Petit fils d’Alsacien résistant de la première heure, j’avais voulu apprendre l’allemand avec une certaine idée des relations entre les deux pays, elle même venant d’une certaine idée de la France, qui devait montrer l’exemple. Oui, "une certaine idée de la France", justement, dont je fais partie. Et j’étais convaincu qu’il y aurait des Allemands suffisamment intelligents pour montrer à leur tour une certaine idée nouvelle de l’Allemagne. Chacun faisant les efforts qui conviennent. Mais voilà... Une autre idée de la France, vengeresse, jalouse, parfois haineuse, méchante, violente, me fut opposée au collège. Un collège dirigé par un prof... d’allemand complètement dingue, et plus ou moins par une prof d’anglais... juive, qui faisait la pluie et le beau temps, avec, pour elle, une certaine idée de l’anglais qu’il fallait aimer, aimer, aimer à tout prix, contre l’allemand.