Aucun mérite, tout vient de la préférence communautaire.
Dès l’université (ou les grandes écoles en France), ces mecs ont accès aux sujets à l’avance. Forcément, comme ça, c’est plus facile d’avoir ses examens.
Moi, la seule fois où j’ai eu un sujet (pour le bac en plus) à l’avance, et qui s’est révélé être le bon, c’était via un juif. Toutes les autres fois, c’était foireux, sauf là.
Une fois les diplômes en poche, comme les gros pontes de la recherche sont juifs, on va faire en sorte que le jeune chercheur juif soit rapidement promu à la tête d’un labo. Là, il bénéficiera du travail des couillons de goys sous ses ordres. Et ça sera lui qui recevra toute la gloire.
On sait bien comment ça fonctionne. Le truc, c’est que les subordonnés ne mouftent pas concernant le fait que ce sont eux qui ont fait le boulot, et en échange, ils seront promus plus tard.
En ce qui concerne la médecine, il y a aussi une véritable fabrique des grands scientifiques de la part de l’industrie pharmaceutique. On prend mec lambda, on lui écrit ses publications. Le gars se retrouve avec une liste de publications longue comme le bras. Il est mis en avant par la presse aux ordres. Il est rapidement considéré comme un "grand scientifique". Et paf, il peut se retrouver un jour avec le Nobel. Et comme l’industrie pharmaceutique est aux mains des juifs, comme par hasard, ce sera la plupart du temps des juifs qui bénéficieront de ça.
Et bien sûr, le jury du prix Nobel est contrôlé à 100 % par les juifs. Du coup, les quelques rares goys qui auraient pu prétendre obtenir le prix ne l’obtiennent pas.
Donc, le mérite juif, le gout du travail juif, l’intellectualisme juif, bonne blague. Le copinage juif, là oui.