Il ne faut jamais oublier le grand Kapital, qui est derrière tout le merdier français. Lui, il ne perd jamais le nord. Mais il le fait perdre à tout le monde. « En aucun cas, ces femmes ne sont des mères », ose Beaugrand...
Des propos aux relents mysogynes réduisant femme et enfant à de simples objets de consommation.#GPA #Beaugrand #Maternitepic.twitter.com/QP9N50FDf3
— Waghzen (@_Waghzen) April 29, 2024
Les Français sont désorientés à coups de GPA ignobles, de justice pro-racailles, d’euthanasie des « inutiles », de ré-autorisation de l’esclavage (uberisation), de décadence culturelle, de destruction de la raison, de dégradation des services publics, de mensonges médiatiques, de gonflement de la dette (pour l’usure), de violences migratoires, de psychoses lancées par Big Pharma, de terreur terroriste, de, de, tout ça pour 3 % de profit en plus, dont les Français ne verront jamais la couleur.
Le chaos se généralise, et ça fait partie du plan, celui de Schwab et ses amis, destiné à perturber l’esprit de notre peuple pour mieux le soumettre. C’est pourquoi la première des résistances consiste à garder l’esprit clair, et froid : il ne sert à rien de s’échauffer en permanence devant les conséquences d’une gouvernance volontairement anarchique.
Le Diable est dans la maison France
C’est drôle, les anars à deux balles des facs gauchisées, ces antifas qui mettent des A cerclés partout, ne sont pas conscients qu’on vit en anarchie, et qu’ils ont gagné ! Sauf qu’ils rêvaient, eux, d’une autre anarchie : celle d’en bas, pas celle d’en haut.
Dans ce contexte, les sorties anti-étudiants de Gaby, lui le pur produit d’un wokisme doublement minoritaire, sont savoureuses. Mediapart a relevé la contradiction :
« Les dérives d’une minorité agissante et dangereuse qui veut imposer à la majorité des étudiants, des enseignants, une idéologie venue d’outre-Atlantique » : voilà comment, interrogé ce week-end sur la mobilisation d’étudiants de Sciences Po en soutien à la Palestine, le premier ministre Gabriel Attal a qualifié le mouvement.
Sans le nommer, il brandissait l’épouvantail du « wokisme » qui, venu d’Amérique, viendrait corrompre nos futures élites, les conduisant à s’intéresser indûment au sort des Palestiniens, alors que 34 000 d’entre eux viennent d’être massacrés dans la bande de Gaza. S’invitant dans la prestigieuse école en pleine occupation d’un amphithéâtre en soutien à Gaza, le Premier ministre avait déjà dénoncé « le déferlement d’une idéologie nord-américaine qui, sous couvert d’une certaine modernité, […] bride la liberté d’expression et les opinions contradictoires. »
Mais dans cette pétaudière qu’est devenu le gouvernement, il y en a une qui dépasse tout le monde : la Séjourné, l’ex de Gaby. Qui vient de tancer Bibi devant le monde entier. On la voit ici ordonner à l’assassin israélien de génocider plus discrètement, parce que ça met la Macronie dans l’embarras, elle qui soutient officiellement la riposte israélienne, c’est-à-dire le génocide.
Échanges avec @netanyahu, en Israël.
Notre politique équilibrée reste inchangée.
Les otages doivent être libérés. Le cessez-le-feu doit être signé. La désescalade doit être engagée au Liban.Ce sont les conditions pour la paix, en Israël et dans la région. pic.twitter.com/ajkcLJqnxl
— Stéphane Séjourné (@steph_sejourne) April 30, 2024
Et là, on n’a pas pu s’empêcher de récupérer les meilleurs tweets réponses, un vrai massacre pour la Séjourné. Voici les auteurs primés de ces saillies drolatiques.
Frédéric Aigouy : « Vous lui avez proposé l’asile politique en cas de poursuites de la CPI ? »
Anice Lajnef : « Qui pour ramener à la vie les 35000 Palestiniens assassinés par ordre du criminel avec qui vous semblez être fier de vous prendre en photo ? »
Pierre-Yves Rougeyron : « Tu as de la chance, comme souvent les hommes politiques israéliens de droite il a un diminutif donné par ses partisans (comme Sharon dit Arik). Là c’est bibi ce ne sera pas trop dur à prononcer. »
Carlos Martens Bilongo : « C’est à quel moment de la discussion qu’il a dit que la cour pénale internationale est antisémite ? »
Erwan Davoux : « S’afficher en photo avec un criminel de guerre c’est de la soumission ou de l’inconscience ? »
Sophie Chikirou : « et Bibi a dit oui ? »
Amine Snoussi : « Double master en droit et incapable d’utiliser deux mots : COLONISATION et GÉNOCIDE. »
Pélo in Paname : Et Bibi t’as uriné dessus, non ?
Beaucoup d’esprits courts nous reprochent ce rapprochement avec les gauchistes. En réalité, ce sont les gauchistes qui se sont rapprochés de nous ! Nous, on n’a pas bougé d’un iota. Si les gauchos s’égarent sur le woke et le climat, en revanche, sur le conflit IP, ils sont à la hauteur.
Un étudiant de droite finit rouge de honte quand je révèle ses mensonges ignobles
Les soutiens d’Israël sont prêt à tout pour justifier le génocide des palestiniens et délégitimer les étudiants mobilisés pour le cessez-le-feu, y compris à les traiter d’antisémites ou à… pic.twitter.com/gqu2hJ6ZXD
— David Guiraud (@GuiraudInd) April 30, 2024
On terminera cette chronique du 1er Mai par une note religieuse de 107 ans d’âge, qui sied très bien aux temps actuels.
« Dieu se détourne du peuple qui ne veut plus de Lui, Il l’abandonne aux conséquences logiques de son criminel divorce et le laisse aller, privé de tout secours protecteur, au terme fatal où il s’affaissera tristement dans la boue ou disparaîtra dans une sanglante orgie. L’athéisme, c’est l’obscurcissement des consciences, c’est la dépression des volontés réduites à leurs seules énergies, c’est la loi dépourvue de toute autorité et toute sanction : c’est l’anarchie ; c’est la rupture de tout frein moral, c’est le déchaînement des plus grossiers appétits et des plus féroces instincts, c’est l’oppression du faible par le fort ; c’est le retour à la barbarie. Aux nations ainsi durement châtiées, les rigueurs de la justice sont une expiation rédemptrice : elles s’en sortiront purifiées, rajeunies, retrempées, rendues à la lumière, au devoir, à l’amitié et à la protection divine, préparée à de plus hautes et plus glorieuses destinées. »
Mgr. Joseph Bonnet, évêque de Viviers,
Lettre Pastorale du 2 février 1917