L’envoyé spécial de l’ONU en Libye, Martin Kobler, vient de terminer son rapport au Conseil de Sécurité sur la situation dans cette terre africaine. Il sonne l’alarme sur une explosion migratoire vers l’Italie :
« En Libye, il y a 250 000 migrants qui attendent afin de trouver le moyen d’aller en Italie. Il est crucial de rétablir la sécurité dans le Pays, pour combattre le phénomène de trafic d’êtres humains qui s’emmêle avec celui du terrorisme. »
« Terrorisme et migration, continue-t-il dans une interview à La Stampa, sont les symptômes d’une même maladie, qui est l’absence d’une autorité étatique. Nous devons affronter le problème à la racine, en rétablissant la légalité. Le trafic d’êtres humains est un crime, et comme tel il va combattu. Il faut une police et une armée unies, déployées sur tout le territoire, pour lutter contre les terroristes et les trafiquants. Sur nos liste il y a 250 000 migrants qui attendent pour partir en Italie. Et ils le feront. Le renforcement de la sécurité est la question la plus importante en ce moment. S’il y a une armée forte et unie, non divisée, les dangers du terrorisme et du trafic d’êtres humains cesseront. »
Pour cette situation anarchique en Libye, cause de ces immenses et incontrôlables vagues migratoires vers l’Europe, du terrorisme et du trafic d’êtres humains, nous pouvons remercier l’entartré de service français Bernard-Henri Lévy et l’ancien président de la France, Nicolas Sarkozy. Ils sont les grands responsables de ce chaos libyen. Ce sont devant les tribunaux qu’ils devraient comparaître et non sur les plateaux de télévision ou pour de nouvelles élections présidentielles.
L’histoire retiendra leurs noms comme de grands criminels !