Dans ce dossier vieux d’un quart de siècle, il est reproché à l’ex-Premier ministre Édouard Balladur d’avoir en partie financé sa campagne électorale de 1995 via des rétrocommissions illégales versées en marge d’importants contrats d’armement.
L’ancien Premier ministre Edouard Balladur a été relaxé, jeudi 4 mars, par la Cour de justice de la République, qui le jugeait pour des soupçons de financement occulte de sa campagne présidentielle malheureuse de 1995, l’un des volets de l’affaire Karachi.
Son ancien ministre de la Défense François Léotard a quant à lui été condamné à deux ans d’emprisonnement avec sursis et 100 000 euros d’amende pour « complicité » d’abus de biens sociaux.
Tous deux étaient absents au délibéré.
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