Egalité et Réconciliation
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Alain Soral – Jean-Luc Godard

3 décembre 1930 : naissance du cinéaste à Paris

Le vingt-et-unième épisode de Soral a (presque toujours) raison
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« Mort de Jean-Luc Godard, et la Nouvelle Vague »

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Au sommaire
de ce SAPTR #21 :

 

00:28 – Deux ans d’exil ! Quel bilan ?

04:17 – Quelles prédictions pour l’hiver 2022 des Français ?

12:24 – Du féminisme féminisant au féminisme masculinisant, ou le triomphe du masculinisme par les femmes

35:22 – Errances du féminisme : la dérive LGBTQ+

55:20 – La destruction de la raison : marxisme culturel & French Theory

58:42 – De Boas à Butler : du relativisme culturel au relativisme sexuel

01h08:15 – De l’appropriation culturelle

01h12:41 – Un avis sur l’affaire Dieudonné/Bigard ?

01h20:16 – Mort de Daria Douguine

01h24:00 – Mort de Jean-Luc Godard, et la Nouvelle Vague

02h02:24 – La Grande Peur des bien-pensants : Édouard Drumont

02h20:43 – La Grande Peur des bien-pensants : Georges Bernanos

02h40:53 – Conseils de lecture

 

Visionnez SAPTR #21 en intégralité (2h53)
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Soral a (presque toujours) raison !

 

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56 Commentaires

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  • #3074744
    Le 6 décembre 2022 à 06:07 par Surnom
    Alain Soral – Jean-Luc Godard

    J’en ai plus compris sur ce cinéma avec Soral, qu’avec des heures d’émissions ou de lecture à la con.
    Merci M. Soral !

     

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    • #3076178
      Le Décembre 2022 à 21:53 par Juliette
      Alain Soral – Jean-Luc Godard

      Vaut mieux voir les films : de Godard, Vivre sa vie, Alphaville, Tout va bien, sont des films géniaux.

       
  • #3074771
    Le 6 décembre 2022 à 07:55 par Clara
    Alain Soral – Jean-Luc Godard

    Alain est un grand connaisseur puisqu’il est lui-même cinéaste. À travers ses mots, ses phrases... nous sentons une véritable passion.

    Je constate que le cinéma dont nous parle si bien Alain a disparu au profit d’un autre cinéma, pas très français...

    Nous constatons que notre cinéma est désormais entre les mains d’une élite pas très catholique. Depuis, nous avons un cinéma "français" médiocre et ennuyeux.

    Alain dit bien - le montre - que Gaudard est tombé dans l’oubli parce qu’il avait osé émettre une critique sur cette fameuse communauté.

    Alain n’a pas été éjecté du cinéma français juste comme ça.. C’est que le "CNC" communautaire n’a pas apprécié son cinéma engagé (sociologie + politique).

    Mais ça n’est pas si grave puisque finalement il a pu rebondir à travers ses écrits.

    Vive le cinéma français des années 50/60/70... que je regardais aux côtés de mon défunt père - qui était né en 1947. Il avait de l’admiration pour Jean Gabin, Fernandel, Belmando, Bourvil, Pierre Richard, De Funès et Galabru...

     

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  • #3074880
    Le 6 décembre 2022 à 13:17 par Roland Culé
    Alain Soral – Jean-Luc Godard

    Comme disait Audiard.
    La "nouvelle vague" était plus vague
    que nouvelle.

     

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  • #3074949
    Le 6 décembre 2022 à 17:02 par Rasta Monolithe
    Alain Soral – Jean-Luc Godard

    Merci Alain Soral pour ce décryptage de différents moments de reformulation des tendances dans le cinéma. Effectivement, c’est un art collectif d’esbroufe et de captation, produisant parfois des résultats admirables. Ainsi, les incursions faites dans la science-fiction par trois réalisateurs de l’époque de la Nouvelle Vague me semblent encore regardables.

    - "La Jetée" (1962) de Chris Marker, réalisé en images fixes avec un scénario très efficace, repris en partie dans "L’Armée des douze singes" (1995) de Terry Gilliam ;

    - "Alphaville" (1965) de Jean-Luc Godard, avec l’émoustillante Anna Karina et un dur à l’ancienne, incarné par Eddy Constantine dans le rôle du détective Lemmy Caution ; un film beaucoup moins verbeux que ses autres productions ;

    - "Fahrenheit 451" (1966) de François Truffaut, d’après le roman de Ray Bradbury ; film qui bénéficia des moyens efficaces du cinéma fantastique britannique.

     

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  • #3075000
    Le 6 décembre 2022 à 18:36 par Karim
    Alain Soral – Jean-Luc Godard

    Je crois que si Soral avait joué le jeu du système il serait imbattable, livre, cinéma (avec un budget), mode et beaucoup plus encore.

    D’une certaine manière il y’a beaucoup de gâchis.

     

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  • #3075088
    Le 6 décembre 2022 à 22:46 par Temet Nosce
    Alain Soral – Jean-Luc Godard

    Tres belle analyse de Soral. Merci.
    Il y a aussi les films cultes qui sont, en plus, des chefs-d’oeuvre, les films d’Antonioni et surtout de Fellini, mais aussi Citizen Kane, je trouve qu’Orson Welles est un peu le Godard du cinema américain, mais nettement plus intelligent et talentueux sur le plan technique et photographique. Comme Godard, Welles a aussi un côté mystificateur, le cinéma étant avant tout une invention d’ingénieurs facétieux, de prestidigitateurs et d’illusionnistes (on pense au train des Lumière et bien sûr à Méliès). C’est le seul art qui a débuté par des blagues. Encore davantage que la photo, le cinéma vise à tromper, grâce aux effets spéciaux (encore plus aujourd’hui avec le numérique) et surtout au montage. En fait l’art divulgue et le cinéma trompe (Lénine disait qu’il était le plus important de tous les arts, grâce à sa capacité de tromper et convaincre la populace)...c’est donc le contraire de l’art.

    Citizen Kane (dont le nom renvoie au cain de la Bible, envieux, corrompu par le désir) est un film extrêmement dense comparé à n’importe quoi de la Nouvelle vague...et qui reste très actuel, le personnage de Kane est le portrait de différents oligarques de son époque mais qui représente encore très bien des mecs comme Musk. Pas nécessairement méchants, mais contrôlants et "corrompus" par l’argent (on pense pour Musk à ses projets de voyages vers Mars ou au Neuralink). Musk a aussi moussé la carrière de ses femmes au talent médiocre (Amber Heard et Grimes en particulier), comme Kane. On remarque dans Citizen Kane l’importance du pouvoir malsain de la Presse sur le public, qui est encore plus vrai aujourd’hui.

    En comparaison de Citizen Kane, tous les films de la Nouvelle vague sont désuets, sinon ringards. Même les amourettes de Rohmer ne fonctionnent plus, puisque les relations hommes-femmes se sont complétement transformées (pour le pire). Un film comme le Genou de Claire est impossible à réaliser aujourd’hui, les féministes et leurs "zalliés" auraient aussitôt la peau du réalisateur l’accusant de promouvoir la culture du viol. Par contre " l’Amour l’après-midi "demeure intéressant, le personnage principal, assez exceptionnel pour l’époque, est aujourd’hui le portrait-type du bourgeois actuel, fasciné par la marginalité anti-famille. Mais aujourd’hui, ils quittent leurs femmes et enfants au contraire du héros du film. Au final, le plus moderne de cette vague fut le vieux catho un peu pédo.

     

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  • #3075164
    Le 7 décembre 2022 à 08:22 par Faisal
    Alain Soral – Jean-Luc Godard

    @ A.SORAL

    Merci pour cette critique de la nouvelle vague, vous aviez déjà mentionné ce "retournement bourgeois" du cinéma populaire français dans une autre de vos interventions.
    Je voudrais vous interroger sur Claude Sautet. Seriez-vous d’accord pour dire qu’il opère d’une certaine manière un retour de la question de classe et de l’univers populaire dans le cinéma des années ’70, notamment avec Vincent François Paul et les autres ?

    Merci d’avance pour votre réponse !

     

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  • #3076177
    Le 8 décembre 2022 à 21:52 par Juliette
    Alain Soral – Jean-Luc Godard

    Je trouve ce commentaire faiblard : en quoi ses films (je pense aux premiers surtout) sont-ils ratés ? Pas d’argument, sauf que Godard a remplacé l’ouvrier joué par Gabin par la jeunesse bourgeoise, sauf qu’un peu plus loin AS célèbre Antonioni auquel on pourrait faire exactement le même reproche ! AS manque totalement l’approche matérialiste du cinéma de Godard, qui adorait l’enregistrement, le document, et qui se servait du cinéma de masse pour filmer le réel, pas au sens sociologique mais phénoménologique. Il le dit lui-même : il fait de la recherche. Seul le capitalisme veut que ça ne soit pas intéressant. Dans une société qui ne reposerait pas sur le culte de l’argent, Godard serait peut-être considéré comme un véritable génie.

     

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  • #3076349
    Le 9 décembre 2022 à 10:02 par Sempervirens
    Alain Soral – Jean-Luc Godard

    Faire du cinéma pour le pognon, la baise de filles du papier glacé, tuer les figures tutélaires issues du prolétariat, qq citations, arrogance de classe de fils zapapa. Je comprends mieux pourquoi je détestais à bout de souffle.

     

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  • #3083716
    Le 22 décembre 2022 à 02:28 par jpgrillon
    Alain Soral – Jean-Luc Godard

    Ces films français sont purement insupportables, toujours les même scènes homme + femme avec dialogue prise de tête, une vraie caricature des Inconnus.
    Insupportable ! De vrais tête a claques.
    Les films de Gabin, Bebel ou Fernandel étaient captivant eux, des la première minute.

     

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