L’établissement d’une société chaotique ou de désordre par incitation à la transgression de l’ordre et tout ce qu’il porte de valeurs pérennes !

Autrement dit : la perversion de masse comme nouvel ordre.

C’est-à-dire une ex-France d’individus immatures comme des enfants, mais en plus pervers... des petits démons... légions "inconscientes" de la secte luciférienne - laquelle nous a rappelé sa présence avec la Conciergerie enflammée et Marie-Antoinette s’en trouvant fort dépourvue...

Pour ceux qui disent ces temps-ci que "la FM c’est plus ce que c’était"... au contraire, elle assure tout le sociétal par la déglingue des moeurs - quand c’est pas directement physique ! (Se rappeler de La Marche rouge de Marion Sigaut)

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La Tv a remplacé la messe, le journaliste, le curé : si ce sujet s’impose à la tv alors pour les normies, c’est accepté.
Nous sommes les mécréants

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Merci pour cette analyse.

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J’ai eu cette espèce de vision,tu sais...cette scène ;dans un des volets de la trilogie Matrix,ou le Peuple ondule(pour rester poli),se frotte et copule,suite a l’appel de Morpheus de profiter des derniers instants de vie avant l’arrivée des Machines.Tous ces individus,autrefois héros résistants, désormais masse vulgaire esclave et,la,j’ai fait un rapprochement avec les défilés Lgbt...Merde !Faut qu’je reprenne une pilule rouge ! :

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Transhumanisme, transgressisme, écologie, wokisme, clonage, immigration massive du tiers-monde, pornocratisation, stérilisation, haine de l’enfance, haine du couple, dépossession matérielle, destruction culturelle, déconstruction civilisationnelle, culte de la laideur, disparition de la transcendance, promotion de la bestialisation africaine, promotion de la decadence occidentale et élites intouchables égal (pour les masses) : les singes sodomites.

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Le magazine des "Inrockuptibles" faisait deja la promotion du transgenre en 1999 : "L’idee du transgenre est simple : pourquoi lier le genre d’une personne à son sexe biologique, alors que la definition de son identite est tellement plus large ?"
Propos rapportés par Philippe Muray, "Apres l’histoire II - Fevrier 1999"

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Bonjour M Soral,

Je en sais pas si vous en avez le goût et le temps ( comme vous êtes en ce moment en train d’écrire), mais en littérature de science-fiction il existe une œuvre intitulée "Les Monades Urbaines", écrite dans les années 70 par l’auteur new-yorkais Robert Silverberg (1974 je crois, mais mes souvenirs de travaux universitaires sont loin dorénavant), qui décrit une société entièrement urbanisée où les effecttifs de population sont délirants (plusieurs centaines de milliards d’individus), et qui sont contrôlés uniquement par la satisfaction intégrale de tout désir/besoin sexuel. Par exemple dans cette société, toute femme ne peut se refuser à un homme qui la désire sexuellement. Tout refus de ce type peut entraîner la contrevenante à être éliminée.
On note aussi dans cette société, la prominence de l’utilisation de différentes drogues et le roman rend hommage à Brave New World d’Huxley, car il existe des commnuautés de "sauvages" hors de cette société ultra-contrôlée, souvent issus de bannissements ou d’évasions de ce totalitarisme du Q et de la drogue.
L’auteur était bien entendu de "la communauté que nous connaisssons bien" toutefois très critique par rapport au monde étasunien contemporain à ses écrits, ce qui lui valut quelques déboires avec l’intelligentsia de la littérature étasunienne de SF de cette époque.
L’œuvre citée a été assez bien traduite chez "j’ai lu" et ne doit pas coûter bien cher à acheter.
Depuis que les assaults de la communauté LGBT+ ont commencé à se manifester, j’ai immédiatement repensé à ce bouquin, où le contrôle social (ingénierie sociale), est entièrement fondé sur la non-frustration sexuelle de tous les individus....ça m’a fait penser à la notion mondialiste de "droits sexuels".
Et pour conclure, dans le livre, l’auteur signale que la sexualité commence très tôt dans la vie des individus (12 ans pour les femmes), donc là encore, on retrouve une des obsessions de notre époque, sexualiser très tôt les enfants ce qui sera aussi sans doute, une très bonne idée pour les contrôler et les rendre dociles au pouvoir du petit nombre.
Merci bien entendu pour votre travail tout au long de ces années et si j’ai suscité quelque curiosité pour ce bouquin, vous m’en verrez bien satisfait.

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Je me posais la question,si monsieur maître Viguier, pouvez me dire si je suis en plein divorce, et devant le tribunal je pouvais dire que je m’identifie comme une femme et épouse battue , humiliée et si j’avais le droit de demander des dédommagements ?
Merci

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Il aurait été dommage de ne pas profiter du temps de cerveau disponible mondial, occasionné par les JO, pour étaler lors de l’ouverture ce qui semble être une initiation aux mœurs de l’élite.

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 Alain Soral nous parle du basculement d’un monde régi par la loi du père et l’ordre naturel, vers une société sommée, sous peine de castration judiciaire, de contrevenir aux axiomes moraux et aux rudiments anthropologiques qui ont bâti sa civilisation : imposée sans consultation ni concertation, la transgression de masse est un renversement de paradigme pensé pour produire une onde de sidération collective, étape propédeutique à l’obtention du consentement au changement.

 Il s’agit de vendre le désordre, les contre-valeurs, l’inversion normative, l’abolition des hiérarchies, les idéologies clivantes et les pratiques déviantes, comme des alternatives à cette sclérose morale qui fait obstacle à la démocratisation du jouir-pour-tous, à la communion du jouir-ensemble, et au pouvoir de jouir-de-tout. La massification de la transgression serait alors une avancée philanthropique nécessitant de mettre au supplice l’enfance, les résistances éthiques, la discipline religieuse, les évidences biologiques. Les esprits indociles qui interrogent le bien-fondé de cette déconstruction axiologique sont labellisés incarnation du fascisme réactionnaire.

 Selon l’ethos luciférien, seules la régularisation de la déviance et la normalisation de l’ignominie délesteraient l’homme des vestiges d’une proto-histoire morale qui l’empêchent d’atteindre son apex divin : les idées en soi de Platon (le beau, le bien, la juste proportion), parce qu’elles sont des concepts limitants qui entravent l’homme dans sa marche ascensionnelle vers sa propre quête de divinité, sont donc promises à l’abrogation.

 Si l’élévation du niveau critique est assimilée à du complotisme, c’est parce qu’elle éveille des résistances qui contrarient le programme de flatterie des instincts et des fantasmes qui réduisent le citoyen à une mécanicité pavlovienne du besoin : prévisible, il est facile à dominer.

 Toute l’intelligence conceptuelle de Soral consiste à proposer un dépassement de la description classique de « l’ingénierie par le chaos »© : le chaos n’est pas uniquement le modus operandi oligarchique de la manipulation des masses, mais la finalité eschatologique recherchée. Cerise décrit les mécanismes de la manipulation des comportements des masses, tandis que Soral décrypte les inversions paradigmatiques du satanisme imposé aux masses. Alors que l’ingénierie est pratiquée à l’insu des masses, la réinitialisation satanique sollicite leur consentement au remplacement des atavismes culturels.

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