Le ministère de l’Enseignement supérieur algérien a décidé d’utiliser l’arabe et l’anglais dans les en-têtes des documents officiels. Un changement de cap de l’administration algérienne, qui décide de se passer de la langue française.
Le ministre algérien de l’Enseignement supérieur, Bouzid Tayeb, a exigé l’utilisation de l’arabe et de l’anglais dans les en-têtes de documents officiels, bannissant ainsi le français de l’administration de l’université. Une mesure qui fait polémique. Hamid Chriet, géopolitologue et spécialiste du Maghreb, était invité ce 31 juillet sur le plateau du JT de RT France pour analyser cette décision.