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Ameline, 100 migrants dans son jardin : suicide occidental ou charité louable ?

C’est la gauchiste du mois. Autrefois il y avait le con du mois mais c’était un peu négatif et ça pouvait donner lieu à des procès, même si Bardot a gagné celui que Fogiel lui a intenté quand elle a traité l’animateur gay de « petit con ». Aujourd’hui Fogiel vante la GPA sur Twitter mais le sujet du jour, c’est Ameline.

 

 

Si la vidéo Facebook s’affiche mal comme souvent avec la multinationale de surveillance et de censure US, si par exemple Ameline et son boys band sont décapités, ce qui crée un inconfort de lecture, vous pouvez apprécier l’expérience de groupe ici. Mais le son se suffit à lui même, et la plupart des clandos se cachent.

 

Ameline a réussi un exploit : à elle seule, avec son jardin, sa générosité et son argent, elle a recréé une petite jungle de Calais en Belgique. On sait bien que le terme jungle est péjoratif, voire raciste, mais pour les gauchistes il suffit de ne pas être noir pour être raciste, la preuve avec les dingos de l’UNEF :

 

 

Ceux qui ont déjà visité un camp de clandestins ou un camp de Roms savent qu’une vraie jungle est nettement plus propre : la forêt équatoriale est autonettoyante. Les sans-papiers de Calais, eux, ne faisaient pas le ménage, ce sont les bénévoles qui se tapaient le sale boulot. On a même vu des lycéens envoyés par leur établissement y faire œuvre humanitaire ! Bonjour le symbole...

Cela dit, les gens ne sont pas volontairement sales : s’ils n’ont pas accès à l’eau potable, aux douches et aux WC, ce qu’on appelle poétiquement les sanitaires, la vie devient rapidement très triviale. L’hygiène corporelle est un marqueur de l’intégration sociale : plus un homme s’éloigne de la civilisation, plus il sentira mauvais, plus il sera rejeté par le troupeau, plus il se négligera. On ne compte évidemment pas les expériences volontaires d’éloignement social que pratiquent les aventuriers du type Mike Horn ou Sylvain Tesson.

Pourtant, les camps de Roms ne sont pas aussi dégradés qu’on le croit.

 

 

On apprécie les statistiques précises de la dame gauchiste – en général les droitistes ne s’occupent pas trop de la misère – qui détaille les emplois du camp :

« Il y a 11 personnes qui ont un CDI, ou un CDD d’ailleurs mais bon qui travaillent officiellement, puis après les autres y en a beaucoup qui se débrouillent, donc c’est la manche, c’est la ferraille, c’est du travail au noir, c’est de la débrouille. »

Que d’euphémismes pour la tchourave, ce mot issu du sanskrit (caura) ! La manche, la récup et la fauche sont en réalité les trois principales activités des roms valides en France, et encore, un invalide peut faire la manche.

On a shooté sur un parking près d’une faculté deux camionnettes bourrées d’enfants roms, qui squattent sans être inquiétés. Dans chaque véhicule dorment une bonne douzaine de petits, et petit ça commence dès 3 ans, petits surveillés par des adultes louches, si l’on peut se permettre cette redondance.

 

 

Des passants se sont demandé si les enfants étaient prostitués, mais cela ne semble pas réaliste, même si dans les années 80-90 Dutroux et ses amis faisaient des allers et retours en Tchécoslovaquie et en Roumanie pour acheter du môme local, pour ensuite passer à de l’enfant belge, plus prisé des gros acheteurs...

Plus probablement sont-ils « achetés » à des familles roumaines ou bulgares qui croulent sous les mômes, puis emmenés mendier ou passer par les soupiraux des pavillons français pour ouvrir les lourdes de l’intérieur. Pas très politiquement correct mais la vérité n’est pas très politiquement correcte.
Au Burkina, pays roi de l’esclavage des enfants, on produit des « autoentrepreneurs » hauts comme trois mangues qui sont dispatchés dans les familles locales et les pays limitrophes. Le gosse est esclave jusqu’à la mort, il sert sa famille d’accueil dans tous les sens du terme. Merde alors, de l’esclavage sans vilains Blancs !

 

 

D’après nos connaissances de terrain, quand les Français se lamentent sur ces mères avec enfants qui font la manche sur les trottoirs de nos villes, ils se trompent : ce ne sont pas toujours des mères avec leurs enfants. Du coup l’instinct maternel de protection ne joue pas. Malignes, les têtes de réseaux qui se payent des châteaux gerbants au pays !

Mais revenons à Ameline, la Cédric Herrou belge. Elle applique le logiciel mondialiste et se retrouve avec des ennuis pleins les bras, ce qui ne veut pas dire qu’il ne faut rien faire contre la misère. Cependant il y a misère et misère : celle qu’on a chez nous, produite par les politiques libérales, et celle qu’on importe. S’occuper de la misère importée c’est comme tenter de vider l’océan avec une passoire.

« On a besoin de dons parce que mon salaire y passe »

Ameline n’est pas représentative de ses concitoyens mais depuis la signature française du pacte de Marrakech, qui nous engage malgré les fake news lénifiantes du Monde, le Système est en train de fabriquer de l’Ameline en série pour absorber la dose de migrants qui nous est prescrite. L’objectif est clair : ameliniser les peuples européens.
Les autorités européistes fabriquent des jungles, ces trous noirs de civilisation. Dieudonné a raison de vouloir retourner dans sa forêt.

Analyses non conventionnelles du pacte de Marrakech, sur E&R :

 






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117 Commentaires

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  • #2183427
    Le 22 avril 2019 à 10:30 par Il est où le soleil
    Ameline, 100 migrants dans son jardin : suicide occidental ou charité (...)

    J’espère ne pas la voir dans un futur fait divers sordide...

     

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  • Vous aurez remarqué qu’il n’y a pas de PÈRE, ni de mari à la maison ! Je suggère les conclusions que chacun ici doit en tirer.

     

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  • Vous aurez remarqué qu’il n’y a pas de père donc de l’Esprit du PÈRE, ni de mari donc l’Esprit de Marie dans cette maison en France chez ces particulières maman solo et jeune femme ! Livrées à leurs seules émotions, pitié pour combler une vacuité morale sous couvert de bonnes intentions charitables. Toutes ces générations n’ont plus de repères, situation préconisée par le système !

     

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  • #2183474

    Mes grands parents mettaient des nains dans leur jardin. Les nouvelles générations mettent des migrants. C’est un concept.

     

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  • #2183557

    L’erreur d’Ameliine : elle a oublié de former politiquement ceux qu’elle aide, de sorte qu’ils/elles refusent de se faire exploiter et au final préfèrent rentrer chez eux plutôt que d’être des pions dans on ne sait quelle machinations diaboliques. C’est dommage que tu n’aies pas entendu parler de délivrance : les délivrer et te délivrer aussi ferait mieux avancer les choses.
    Je vais essayer de la contacter pour lui expliquer en personne.

     

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  • Ces gens qui pratiquent l’humanisme morbide sont la cause de notre destruction et sont collabos malgré eux.

     

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  • "Je fais quoi maintenant"... ? Ben tu te débrouilles. La charité c’est bien, mais il faut faire des choix. Personnellement, si un gars qui crève la dalle vient sonner à ma porte, je lui donne de quoi se restaurer. S’ils sont 10, ben non, parce que j’ai une famille et qu’elle passera toujours avant quiconque si je ne peux pas me permettre de faire profiter de mon salaire davantage de personnes. Je les enverrais à la mairie... On paie suffisamment d’impôts et de taxes au nom de la solidarité, et les CCAS sont faits pour ça. Maintenant s’ils sont trop nombreux par rapport à ce que le pays a à leur offrir, il serait peut-être intelligent de faire en sorte de limiter un peu les entrées... Mais bon, je sais, c’est fasciste comme idée à ce qu’il paraît.

    Les Ameline ne se rendent pas compte du mal qu’elles font. A ce niveau là, c’est carrément de l’inconscience. Imaginez que chaque français ouvre sa porte comme elle à 100 migrants, l’appel d’air... Et nos jardins, de devenir des poubelles, à l’image de ce qu’est devenu le sien, où les logés-nourris gratos ne sont visiblement pas soucieux de préserver un semblant de rangement et de propreté...

     

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  • #2184433

    "En tant que femme transgenre racisée je suis intersectionnelle. Mais ma racisation fait de moi une personne plus privilégiée qu’une personne afro descente et c’est à cause du colorisme qui crée un privilège entre les personnes racisées." Clémence Zamora-Cruz

    Molière peut dormir en paix : la relève de ses Précieuses ridicules est assurée.

     

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  • #2184663

    comme la dit sarko""" il faut metisser la france"""

     

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  • C’est à dire que les Belges n’ont pas leur Gad pour plagier Coluche et les ramener à la réalité :
    Ainsi s’exprimait l’humoriste controversé des années 80 :
    « La misère du monde n’est pas de dimension humaine.
    Y’en a TROP d’misère !

    Alors on s’occupe de la notre, et pis quand on n’en a pas j’dois dire qu’on n’a pas à s’en occuper.
    Hein ? Un mec qui aurait pas d’misère et qui s’occuperait d’misères ça s’rait vraiment un con.
    Ca s’appellerait "utiliser son intelligence à ses dépens". Franchement...
    Alors Dieu il a qu’à s’occuper, dans c’cas là moi j’crois en Dieu, si on m’emmerde avecc la guerre, j’crois en Dieu !
    C’est Dieu qui s’occupe de tout.
    Ah, moi, je sais pas, euh, il est pas là, en c’moment, Dieu...
    J’m’excuse, hein, ça m’aurait fait plaisir !
    Il aurait pu nous défendre, il aurait dit deux mots, il vous aurait répondu lui-même, mais il est pas, là. »

    On espère que la fosse sceptique d’Amélie aura tenu le coup : car il n’y a rien de pire que cette logistique-là dans la gestion des groupes : la bouffe, c’est presque dérisoire à côté ; ce n’est pas pour rien que les diplômes de génie civil et des ponts et chaussées sont parmi les plus balaises du monde. Connasse !

    Le comique dont on parle ci-dessus aura fait don de sa notoriété et des réseaux qui l’accompagnent, de celles de « ses » potes Enfoirés qui en récupèrent la gloriole, d’un bénévolat à la petite semaine, des quelques millions glanés ici et là, d’une partie des stocks "tampons" de l’Europe pour filer deux casse-dalle à quatre paumés du coin : et encore, l’exercice comptable n’est pas équilibré. Et la blondasse inconnue au bataillon qui pense s’en sortir seule avec son salaire « de misère ». Comment j’ai dit ? Ah oui : connasse ! Humanitaire, mais connasse.

     

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