C’est la gauchiste du mois. Autrefois il y avait le con du mois mais c’était un peu négatif et ça pouvait donner lieu à des procès, même si Bardot a gagné celui que Fogiel lui a intenté quand elle a traité l’animateur gay de « petit con ». Aujourd’hui Fogiel vante la GPA sur Twitter mais le sujet du jour, c’est Ameline.
Si la vidéo Facebook s’affiche mal comme souvent avec la multinationale de surveillance et de censure US, si par exemple Ameline et son boys band sont décapités, ce qui crée un inconfort de lecture, vous pouvez apprécier l’expérience de groupe ici. Mais le son se suffit à lui même, et la plupart des clandos se cachent.
Ameline a réussi un exploit : à elle seule, avec son jardin, sa générosité et son argent, elle a recréé une petite jungle de Calais en Belgique. On sait bien que le terme jungle est péjoratif, voire raciste, mais pour les gauchistes il suffit de ne pas être noir pour être raciste, la preuve avec les dingos de l’UNEF :
"En tant que femme transgenre racisée je suis intersectionnelle. Mais ma racisation fait de moi une personne plus privilégiée qu'une personne afro descente et c'est à cause du colorisme qui crée un privilège entre les personnes racisées." Clémence Zamora-Cruz de l'@InterLGBT pic.twitter.com/7bnZxI4Pzd
— UNEF (@UNEF) 19 avril 2019
Ceux qui ont déjà visité un camp de clandestins ou un camp de Roms savent qu’une vraie jungle est nettement plus propre : la forêt équatoriale est autonettoyante. Les sans-papiers de Calais, eux, ne faisaient pas le ménage, ce sont les bénévoles qui se tapaient le sale boulot. On a même vu des lycéens envoyés par leur établissement y faire œuvre humanitaire ! Bonjour le symbole...
Cela dit, les gens ne sont pas volontairement sales : s’ils n’ont pas accès à l’eau potable, aux douches et aux WC, ce qu’on appelle poétiquement les sanitaires, la vie devient rapidement très triviale. L’hygiène corporelle est un marqueur de l’intégration sociale : plus un homme s’éloigne de la civilisation, plus il sentira mauvais, plus il sera rejeté par le troupeau, plus il se négligera. On ne compte évidemment pas les expériences volontaires d’éloignement social que pratiquent les aventuriers du type Mike Horn ou Sylvain Tesson.
Pourtant, les camps de Roms ne sont pas aussi dégradés qu’on le croit.
On apprécie les statistiques précises de la dame gauchiste – en général les droitistes ne s’occupent pas trop de la misère – qui détaille les emplois du camp :
« Il y a 11 personnes qui ont un CDI, ou un CDD d’ailleurs mais bon qui travaillent officiellement, puis après les autres y en a beaucoup qui se débrouillent, donc c’est la manche, c’est la ferraille, c’est du travail au noir, c’est de la débrouille. »
Que d’euphémismes pour la tchourave, ce mot issu du sanskrit (caura) ! La manche, la récup et la fauche sont en réalité les trois principales activités des roms valides en France, et encore, un invalide peut faire la manche.
On a shooté sur un parking près d’une faculté deux camionnettes bourrées d’enfants roms, qui squattent sans être inquiétés. Dans chaque véhicule dorment une bonne douzaine de petits, et petit ça commence dès 3 ans, petits surveillés par des adultes louches, si l’on peut se permettre cette redondance.
Des passants se sont demandé si les enfants étaient prostitués, mais cela ne semble pas réaliste, même si dans les années 80-90 Dutroux et ses amis faisaient des allers et retours en Tchécoslovaquie et en Roumanie pour acheter du môme local, pour ensuite passer à de l’enfant belge, plus prisé des gros acheteurs...
Plus probablement sont-ils « achetés » à des familles roumaines ou bulgares qui croulent sous les mômes, puis emmenés mendier ou passer par les soupiraux des pavillons français pour ouvrir les lourdes de l’intérieur. Pas très politiquement correct mais la vérité n’est pas très politiquement correcte.
Au Burkina, pays roi de l’esclavage des enfants, on produit des « autoentrepreneurs » hauts comme trois mangues qui sont dispatchés dans les familles locales et les pays limitrophes. Le gosse est esclave jusqu’à la mort, il sert sa famille d’accueil dans tous les sens du terme. Merde alors, de l’esclavage sans vilains Blancs !
D’après nos connaissances de terrain, quand les Français se lamentent sur ces mères avec enfants qui font la manche sur les trottoirs de nos villes, ils se trompent : ce ne sont pas toujours des mères avec leurs enfants. Du coup l’instinct maternel de protection ne joue pas. Malignes, les têtes de réseaux qui se payent des châteaux gerbants au pays !
Mais revenons à Ameline, la Cédric Herrou belge. Elle applique le logiciel mondialiste et se retrouve avec des ennuis pleins les bras, ce qui ne veut pas dire qu’il ne faut rien faire contre la misère. Cependant il y a misère et misère : celle qu’on a chez nous, produite par les politiques libérales, et celle qu’on importe. S’occuper de la misère importée c’est comme tenter de vider l’océan avec une passoire.
« On a besoin de dons parce que mon salaire y passe »
Ameline n’est pas représentative de ses concitoyens mais depuis la signature française du pacte de Marrakech, qui nous engage malgré les fake news lénifiantes du Monde, le Système est en train de fabriquer de l’Ameline en série pour absorber la dose de migrants qui nous est prescrite. L’objectif est clair : ameliniser les peuples européens.
Les autorités européistes fabriquent des jungles, ces trous noirs de civilisation. Dieudonné a raison de vouloir retourner dans sa forêt.