Résumé du pacte mondialiste qui veut carrément institutionnaliser les migrations de masse (Source : RT France) :
« Pour les y aider, le pacte demande aux États d’organiser le “regroupement familial” et de fournir aux migrants les mêmes droits à la “sécurité sociale et aux services sociaux” que les nationaux. Le marché du travail ne doit bien entendu pas déroger à la règle, et se doit de promouvoir “la pleine participation des travailleurs migrants à l’économie formelle”.
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Bien qu’il ne soit pas encore entré en vigueur, l’ONU a visiblement conscience que l’idéologie défendue dans son pacte risque de se heurter à une partie de la population. C’est pourquoi dans l’objectif 17, les États signataires s’engagent à “éliminer toutes les formes de discrimination, et encourager un débat public fondé sur l’analyse des faits afin de faire évoluer la manière dont les migrations sont perçues”.
Les États ont donc le devoir de “condamner et contrer” les actes de racisme, de discrimination ou encore d’intolérance envers les migrants, par la voie judiciaire mais aussi un exerçant un contrôle de l’information. Il est ainsi de leur responsabilité de promouvoir une “information indépendante, objective et de qualité, y compris sur Internet”.
Comment y parvenir dans un État ou la presse est libre ? “En sensibilisant les professionnels des médias aux questions de migration et à la terminologie afférente, en instituant des normes déontologiques pour le journalisme et la publicité et en cessant d’allouer des fonds publics aux médias qui propagent l’intolérance, la xénophobie, le racisme et les autres formes de discrimination envers les migrants”, exige, sans ciller, le pacte. Mais que l’on se rassure, le tout, “dans le plein respect de la liberté de la presse”. »
Ces simples phrases relevées par la chaîne RT montrent le potentiel de destruction du texte de l’ONU. C’est carrément un bréviaire pour couler l’Europe, puisque les États-Unis savent se protéger de l’immigration de masse, et qu’on ne connaît pas d’Africain candidat au départ qui veut aller vivre en Chine. Personne ne critique les USA quand ils bâtissent des murs ou qu’ils militarisent leurs frontières.
L’Europe, elle, dirigée par les mondialistes que l’on sait, n’a pas le droit de se défendre contre le choc migratoire, elle doit l’absorber, mieux, l’organiser, le faciliter. Jusqu’où ira le suicide ?
La question n’est plus, pour les peuples européens qui voteront en mai 2019, d’être pour ou contre les migrants – le piège raciste/antiraciste tendu par les gouvernants – mais pour ou contre les élites corrompues qui détruisent sciemment les pays qu’elles tiennent entre leurs mains par la Banque, le Marché, la Dette.
Il faut remonter aux causes. Ce ne sont pas les migrants qui devraient se noyer en mer, mais bien les organisateurs de cette déstabilisation mondiale, à savoir les oligarques européens (les passeurs étant du menu fretin).
C’est le moment de regarder un documentaire d’Arte sur les chauffeurs routiers venus de l’est de l’Europe qui travaillent déjà pour des sociétés ouest-européennes à des conditions qui bafouent nos lois sociales. Et qui les tirent vers le bas, vers le fonds, car le filet social crèvera sous le poids de millions de migrants et de leurs familles.
Il ne restera alors dans le pays hôtes que ceux qui pourront résister, avec leurs emplois protégés, à cette invasion destructrice du lien social (voir les quartiers de migrants à Paris) et du filet social (qui financera la Sécu ? Pas eux). Tout ce qui aura été érigé en 150 ans de luttes sociales en France sera par terre, et nos dirigeants issues du capitalisme financier morbide travaillent pour cela.
Le reportage montre les travailleurs migrants qui passent d’un pays socialement sinistré (par exemple la Roumanie) à un pays qui propose des emplois à des prix cassés (la Belgique, l’Allemagne ou la France), ce qui prouve que le pacte de l’ONU sur les migrants est un vœu pieu.
Mais derrière l’humanisme de façade, il y a le satanisme de nos élites.
Chez nous, Macron soutient le pacte, qu’il appelé « traité » dans un lapsus révélateur.
Macron est-il un pyromane ?
Alors que la France est hautement inflammable, #Macron de l'étranger, indique que la France défendra le très contesté et clivant pacte de l'ONU sur les migrations. Pourquoi toujours lancer des sujets qui divisent les Français et non qui les rassemblent ? pic.twitter.com/redRKdLo1A— Patrick Edery (@patrick_edery) 20 novembre 2018
Le site medias-presse.info a relevé la perfidie du pacte défendu par le président mondialiste (on n’a pas dit français, ce serait un contre-sens) Macron lors de sa visite en Belgique :
« Pour rassurer les peuples, les partisans du pacte font valoir qu’il ne sera pas juridiquement contraignant… Sauf qu’en signant le pacte, les États s’engageront politiquement auprès des autres signataires à agir de manière conforme aux objectifs du texte, sous le contrôle de l’ONU et de la Cour internationale de justice de La Haye, voire des juges nationaux. On ne peut exclure qu’un juge écarte un jour une législation restrictive contre l’immigration au motif qu’elle est contraire au pacte mondial sur les migrations. »
Boum, encore une loi supranationale qui se profile et qui va contre le droit souverain des peuples. Les États n’auront plus leur mot à dire sur les déplacements de populations qui les toucheront, et ceux qui jouent à cela auront le champ libre.
Décrié par certains, le pacte de l’ONU sur la migration va être signé en décembre. Le texte met en avant la nécessité de mettre en œuvre des politiques très favorables aux migrations, facteurs de « prospérité, et de développement durable ».
Le « Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières », qui doit être adopté les 10 et 11 décembre au Maroc par les États membres de l’ONU, se découvre de plus en plus de contempteurs à mesure que l’échéance de sa signature approche. Mais que contient véritablement ce pacte élaboré au sein de l’ONU, et qui se veut « non contraignant » pour les États signataires ?
Il repose en premier lieu sur le constat que les migrants et les réfugiés jouissent « des mêmes libertés fondamentales et droits de l’homme universels », mais que seuls les réfugiés bénéficient de la protection internationale définie par le droit international des réfugiés. Ce pacte mondial concerne donc les migrants, et, partant du principe qu’aucun État ne peut gérer seul la question des migrations, institue ce qu’il qualifie de « cadre de coopération » pour en gérer tous les aspects.
L’idéologie qui sous-tend le texte est claire : à l’heure de la mondialisation, l’ONU voit dans les migrations un facteur de « prospérité, d’innovation et de développement durable », et souhaite donc mettre en place une meilleure gouvernance afin d’« optimiser ces effets positifs ».
Dans l’optique de rendre les migrations « bénéfiques à tous », 23 objectifs ont été fixés, avec pour chacun d’eux, les mesures nécessaires à entreprendre pour les atteindre. Des mesures visant à protéger les migrants sont évidemment présentes, notamment dans l’objectif 9, qui prévoit de renforcer la lutte transnationale contre le trafic de migrants, ou encore l’objectif 10 qui vise à éliminer la traite de personnes.
Encourager l’immigration plutôt que la contrôler
Mais le texte comporte de nombreux autres aspects, qui tendent à encourager l’immigration plutôt qu’à la contrôler. Ainsi dans l’objectif 5, les signataires s’engagent à ménager des options et des filières de migration régulière, accessibles et plus souples, « pour faciliter la mobilité de la main-d’œuvre ». Un point qui revient sous diverses formes et tient une place centrale dans le pacte : l’objectif 18 appelant par exemple les États à trouver des solutions pour « faciliter la reconnaissance mutuelle des qualifications et compétences des travailleurs migrants ».
Le texte appuie en outre sur la nécessité de mettre en œuvre des politiques globales pour favoriser la pleine intégration des migrants et la cohésion sociale. Et ainsi défendue l’idée de sociétés inclusives, où de l’école au « centre ou programmes communautaires », des outils sont mis en place pour que les migrants puissent devenir des membres actifs de la société.
Pour les y aider, le pacte demande aux États d’organiser le « regroupement familial » et de fournir aux migrants les mêmes droits à la « sécurité sociale et aux services sociaux » que les nationaux. Le marché du travail ne doit bien entendu pas déroger à la règle, et se doit de promouvoir « la pleine participation des travailleurs migrants à l’économie formelle ».
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Les États-Unis, Israël et plusieurs pays européens prennent leurs distances avec le texte
Après les États-Unis, qui l’ont rapidement jugé « incompatible » avec leur politique migratoire et la souveraineté nationale américaine, plusieurs États européens ont annoncé qu’ils ne signeraient pas le texte. La Hongrie du Premier ministre Viktor Orban a qualifié cet accord qui encourage des flux de personnes, de « dangereux ».
L’Autriche s’est inquiétée de l’atténuation de « la distinction entre migrants légaux et illégaux » qu’il met œuvre, et s’est alarmée qu’il puisse, à terme, établir un nouveau droit international contraignant ou « qui puisse être interprété comme tel ». La République tchèque, la Bulgarie et la Pologne ont dans la foulée annoncé prendre leurs distances avec le pacte.
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En France Emmanuel Macron est pour sa part un fervent défenseur du pacte, comme il l’a rappelé lors de sa visite en Belgique le 20 novembre.
« La France le soutient clairement. Il y a ensuite des débats qui existent en Europe. [...] J’attire l’attention de chacun, sur parfois les contre-vérités qui peuvent être dites sur ce traité », a-t-il déclaré dans un lapsus pour le moins gênant, avant d’immédiatement se reprendre : « Enfin sur ce texte. Parce qu’il est non-engageant, parce qu’il ne s’agit pas d’un traité contraignant. Les solutions qu’il proposent vont exactement dans la direction à la fois des valeurs de l’Europe et des intérêts de l’Europe. »
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La parodie par le Rassemblement national
du clip gouvernemental antipopuliste
pour les élections européennes de 2019
Macron utilise l'argent des Français pour faire de la propagande. nous lui proposons une autre version !
Emploi, immigration, pouvoir d'achat : aux #européennes2019, avec le Rassemblement National, faites le choix de l'alternance et des peuples ! pic.twitter.com/9TWQxyhEx1
— Rassemblement National (@RNational_off) 7 novembre 2018