Noël approche, les prix augmentent (ceux du TGV explosent) d’après Michel-Édouard Leclerc (le char qui écrase les prix, enfin, pas tous), les familles vont devoir se serrer la ceinture, car nous ne sommes pas tous riches. Heureusement, il reste les jeux de société, pas les jeux individuels éclateurs de collectifs qu’on voit aujourd’hui (mobile, tablette, console). Dans cette catégorie résiduelle on trouve les jeux éducatifs – par exemple le scrabble – et maintenant, grâce à la gauche socialo-sioniste qui pense aux pauvres, on a le le jeu des antifas, ou des futurs antifas.
Vous avez un enfant sensibilisé aux problèmes des racailles qui souffrent de racisme, à l’injustice des méchants riches qui volent les pauvres de couleur, à l’impunité des fascistes responsables de tout ce qui ne va pas en France, à savoir le couillonavirus, les attentats sous faux drapeau et la crise économico-sociale de la Banque qui nous rackette par la dette ?
Offrez-lui le jeu des antifas. On a quand même vérifié pour savoir si c’était pas une blague, car le Net est truffé de pièges pour les non-vérificateurs. Eh bien ça existe vraiment, ça se vend, même (ne comptez pas sur les gauchistes pour faire du don, c’est pas le genre de la maison, on n’est pas chez les généreux cathos ici),
Antifa, le jeu est un jeu de plateau de simulation et de gestion dans lequel vous faites vivre un groupe antifasciste local. Chaque joueur incarne un militant avec des compétences particulières. Chaque mois (qui correspond à une manche), votre groupe va être confronté aux exactions d’extrême droite et, pour chaque événement auquel vous allez faire face, vous décidez quelles actions mettre en place, chacune étant plus ou moins efficace et plus ou moins risquée.
Rappel : la Horde est un minuscule collectif d’agents du pouvoir profond qui dénoncent les patriotes français aux autorités sionistes. C’est la version contemporaine de la Carlingue, la Gestapo française de la rue Lauriston. Les membres de cette petite confrérie antifrançaise qu’est la Horde n’ont pas dû rester longtemps à l’école, surtout pendant les cours d’histoire, car la Carlingue, ça finit pas très bien.
Ce jeu de société est vendu par la FNAC au prix de 30 euros, trop cher pour qu’on le teste. Voici la description (qui reprend et poursuit le résumé diffusé plus haut) du groupe FNAC désormais lié à la famille Darty. Et en écriture inclusive, s’il vous plaît !
Au fur et à mesure de son existence, votre groupe va se retrouver dans des situations de plus en plus complexes, présentées dans différents scénarios en utilisant une sélection des cartes du jeu. Inventé par des militants antifascistes de longue date et inspiré de faits réels, Antifa, le jeu est aussi un outil de formation. La Horde est un collectif antifasciste issu du réseau No Pasaran. Ses militant·es sont des compagnons de longue date des éditions Libertalia. Ensemble, en 2019, nous avions publié Antifa, de Bernd Langer, une histoire de l’antifascisme en Allemagne.
Par ce biais, les antifas, en perte de vitesse (d’où l’augmentation de leur violence), tentent de toucher une jeunesse qui vote en majorité pour le camp national, les dernières élections présidentielles faisant foi. Le Figaro du 24 avril 2017 (entre les deux tours donc) confirme :
Une nouvelle fois, les jeunes plébiscitent les extrêmes. Selon Opinionway, les 18/34 ans sont 25,7 % à avoir voté pour Marine Le Pen contre 24,6 % pour Jean-Luc Mélenchon et 21,6 % pour Emmanuel Macron. (...)
Ipsos affirme que 32 % des électeurs qui vivent dans un foyer qui a moins de 1 250 euros de revenus mensuels ont voté pour le Front national, devant Jean-Luc Mélenchon (25 %). Les ouvriers ont été 45 % à opter pour Le Pen, dit BVA, devant Jean-Luc Mélenchon (21 %).
Les chiffres font mal pour l’extrême gauche, battue par la droite nationale à la fois chez les jeunes, et dans les catégories populaires, deux bastions qui étaient historiquement dominés par la gauche. Ce qui veut dire, si l’on trace les lignes, que le vote national est là pour durer et que la crise, qui produit du pauvre, va renforcer encore le nationalisme politique.
La montée du camp national inquiète à ce point le pouvoir profond, incarné par le CRIF, qu’il a été obligé de lancer un candidat – Zemmour – pour contrôler la montée inexorable – en temps de crise et d’inflation, comme en 1933 – du sentiment national. La bataille idéologique a été perdue par le gauchisme, qui n’a plus que l’invective et l’inversion accusatoire pour faire croire qu’il est encore le camp du Bien. Le Bien, les Français le voient sous leurs yeux : il rime avec multicrise !
Nous souhaitons sincèrement bonne chance aux enfants de gauchistes intoxiqués par cette idéologie mortifère et qui vont être obligés de jouer à un jeu pas drôle, dégoulinant de propagande, c’est-à-dire de mensonge et de brouillage mental. Pour se libérer de cette emprise, beaucoup de ces « prisonniers politiques », pour reprendre le mot célèbre de Godard, devront voter à droite toute. Bravo les antifas, continuez comme ça !
La haine et l’impunité, le vrai visage des antifas