Pendant des millénaires, la structure monogame de la famille s’est avérée la plus bénéfique, assurant la sécurité des femmes et des enfants, ainsi que la base d’une société ordonnée.
Toutefois, cette structure défiait les lois de la nature qui affirment que les meilleurs doivent se reproduire d’avantage. Comment nos ancêtres résolurent-ils ce dilemme ?
La solution, basée, comme toujours, sur l’observation des phénomènes naturels, fut de diviser les hommes en trois classes, respectivement appelées Thralls, Karls et Jarls.
Les Thralls ont toujours été la lie de la société. On en trouve aujourd’hui comme exemples les fonctionnaires, les prédicateurs qui falsifient les textes, les assistés sociaux et les politiciens, pour n’en nommer que quelques uns. Dans un monde naturel, ils n’ont aucun droit aux plaisirs qu’offrent les femmes, ni à la reproduction.
La seconde classe est celle des Karls. Ce sont les fermiers d’autrefois, les artisans métallurgistes, et ce que nous appellerions aujourd’hui les « milices citoyennes ». Ils sont le sel de la terre et la colonne vertébrale de la civilisation. De nos jours, ce sont les propriétaires terriens, les fermiers, les inventeurs et les artisans. Ils doivent transmettre leur patrimoinee génétique au moyen d’une épouse et d’un enfant. Et l’expérience a prouvé que la monogamie était la meilleure structure matrimoniale pour les Karls, qui forment la majorité de la société aryenne.
La troisième classe était celle des Jarls. Les Jarls sont rares. Ce sont les hommes supérieurs qui établissent leur droit à gouverner par des preuves de loyauté tribale (aujourd’hui : raciale), par leur dévouement au peuple, par leur courage, leur persévérance et leur détermination. La survie du peuple dépend de la sagesse, du courage, de l’altruisme et du bagage génétique des Jarls. Et, parce que ceux-ci sont tellement rares, leurs gènes doivent être transmis en abondance. La polygamie est, par conséquent, ce que désire la nature pour les Jarls véritables.
Les femmes connaissent instinctivement ces vérités. C’est pourquoi nous voyons les « groupies » se succéder dans le lit des stars du rock et des stars du sport, où elles sont pourtant conscientes de faire seulement partie d’un harem virtuel – et bien que les célébrités de notre époque soient de la racaille.
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