Batdaf, surnom qui signifie « bataillons d’Afrique », ces hommes punis qui ont formé l’infanterie légère d’Afrique francophone, exprime sa colère après les exactions des racailles qui ont suivi la victoire des Bleus en Coupe du monde. La coupe est pleine, pourrait-on dire, mais pas de champagne : ras-le-bol intégral. Ce coup-ci, on dirait qu’on a franchi un cap.
Un commentaire parmi d’autres :
« Ouf enfin quelqu un qui dit ce que je pense depuis plus de 30 ans ! Je vis parmis ces sous-hommes , ce ramassis de sous-merdes qui vous empoisonnent la vie 24h sur 24, je n ai qu une envie les exterminer au bazooka ! Ils n ont AUCUNE excuse, ce sont des nuisibles et leurs parents kif kif ! La classe politique Française est aussi coupable que ces petits enculés car si des hommes et non des tapettes Gouvernait ce Pays il y a longtemps que le problème de ces cafards nuisibles serait règlé ! Je ne suis ni harki , ni Français, je suis un Algérien né en France il y a 71 ans et ce que j écris des centaines de milliers de personnes comme moi pensent la même chose que moi ! Ces tapettes des cités ne connaissent que la FORCE et le BÂTON ! »
Pour illustrer et confirmer ce coup de gueule, ce terrible fait divers qui a eu lieu à Meylan, près de Grenoble (Source : Le Dauphiné) :
« En tuant notre fils, ils ont détruit notre vie »
« Mon fils a tenté de venir au secours d’un couple d’amis qui était pris à partie par les agresseurs. C’est en venant les aider qu’il a été tué. Il a fait preuve d’héroïsme. Ni lui ni ses copains n’étaient évidemment armés, alors que les autres avaient des couteaux. Mais comment est-il possible que des gens puissent entrer dans une discothèque en étant armés ? », s’interroge, effondrée, la mère d’Adrien, Patricia. « En tuant notre fils, ils ont détruit notre vie », ajoute Bruno Perez, qui explique qu’il ne « pardonnera jamais ».
- Adrien
Selon le père d’Adrien, « la police et les gendarmes font tout ce qu’ils peuvent, mais la vérité, c’est que l’État a peur de cette minorité de personnes ultra-violentes qui terrorisent la majorité des pauvres gens dans les quartiers ». ce qui confirme les propos de Batdaf sur les gouvernements successifs qui ne font rien pour la sécurité, et qui profitent même de l’insécurité ambiante pour mater le peuple.
« Par ailleurs, hier soir, trois jeunes hommes ont été mis en examen dans cette affaire. Deux d’entre eux, Younes El Habib et Yanis El Habib, deux frères, respectivement suspectés du meurtre d’Adrien et de tentative de meurtre sur un ami d’Adrien, ont été placés sous mandat de dépôt. Le troisième suspect a été mis en examen pour violences volontaires et placé sous contrôle judiciaire. »
Sur le Facebook des meurtriers présumés, dont les noms ont été balancés par le Dauphiné, de banales photos de racailles frimeuses, comme on en voit des milliers dans notre pays. Ce cancer, qui a été encouragé par une gauche suicidaire, est aujourd’hui généralisé. Il faudra effectivement beaucoup d’efforts et peut-être beaucoup de sacrifices pour venir à bout de ces racailles, qui ont été protégées par la justice. Et qui le sont encore, car elles arrangent le pouvoir profond.
Nous avons beau être pour la justice – quand elle fonctionne, c’est-à-dire rarement – et contre le lynchage, il semble que les Français sont à deux doigts de se faire justice tout seuls. Cependant, il ne faut jamais oublier l’ingénierie sociale sur laquelle Batdaf passe très vite, ingénierie qui a autorisé de telles exactions depuis plus de trois décennies : le socialisme à la sauce Julien Dray, le besoin cynique du vote des cités qui a paralysé la police et la justice sur ordre du politique, la stigmatisation du petit Blanc, l’épée de Damoclès du racisme sur la tête de chaque Français qui aurait pu ou voulu se défendre, la féminisation à outrance de la société...
Nous payons aujourd’hui plusieurs décennies de travail de sape des loges maçonniques – à l’origine de l’antiracisme d’État – et des associations ultracommunautaires qui ont infiltré les rouages de l’exécutif. Si la ratonnade que Batdaf et ses amis identitaires appellent de leurs vœux survient, les commanditaires de toute cette saloperie s’en sortiront les mains propres. Comme pour les « attentats »...
Le point de vue d’Alain Soral sur les racailles (2016) :