Egalité et Réconciliation
https://www.egaliteetreconciliation.fr/
 

Calais : le laboratoire "multiculturel" du mondialisme vire au désastre

Avec le maire LR de Calais, Emmanuelle Cosse, et les hébergeurs de migrants

Voici trois articles relatifs à l’évolution de l’expérience migratoire française. Ils évoquent la situation explosive de la « jungle », la proposition surréaliste d’Emmanuelle Cosse pour éponger le trop-plein de migrants, ainsi que les expériences d’« hébergement citoyen de réfugiés » par de généreux Français.

 

 

Natacha Bouchart, maire LR de Calais, au Figaro du 11 août 2016 :

« Ils arrivent plus massivement depuis juillet et la situation s’est aggravée depuis une quinzaine de jours. Si bien que le pic d’occupation de la jungle de septembre, où l’on dénombrait 6000 personnes, est dépassé. On en compte désormais 7000. Plus nombreux à arriver par Menton, ils rejoignent ensuite notre ville, encadrés par des passeurs. »

Comment réagit la population ?

« Victime de déprédations permanentes, elle est à cran et choquée. L’État, qui sécurise le port, ne prévoit rien, sans doute faute de moyens, pour la protéger. La situation est telle que des milices se sont constituées. Nous ne cautionnons évidemment pas ces initiatives, car c’est à l’État d’assurer la sécurité. »

 


 

Migrants : Calais à nouveau au bord de l’explosion

 

 

Le nombre de clandestins ne cesse d’augmenter dans la « jungle », la police tire la sonnette d’alarme et s’inquiète du risque terroriste.

« Calais, c’est pire que jamais ! » Ce cri d’alarme émane d’un officier des CRS à peine rentré de mission. Il fait évidemment référence au camp de la Lande, baptisé la « jungle », où les migrants convergent, chaque jour plus nombreux, dans l’espoir de rejoindre clandestinement l’eldorado anglais depuis Calais.

D’emblée, ce cadre chevronné fait une mise au point :

« Ce qui se passe au camp de la Lande est proprement ahurissant. Nos unités y interviennent rarement en profondeur. On encadre des opérations de fermeture de commerces clandestins qui rouvrent à peine la police a-t-elle tourné le dos. Il est impossible de savoir si un djihadiste issu de Belgique, par exemple, s’y cache. En plein état d’urgence, ce campement constitue un angle mort pour la sécurité nationale. »

 

Un fiché S repéré la semaine dernière

La menace terroriste est pourtant loin d’être fantaisiste. À la frontière entre la France et l’Italie, un « fiché S » a, selon une source policière, été repéré la semaine dernière parmi un groupe d’une dizaine de migrants intercepté. « Détecter les profils à risques demeure une exigence absolue », déclare Pascal Brice, le directeur de l’Office français de protection des réfugiés et des apatrides (Ofpra), qui assure se rendre une fois par mois à Calais pour prendre le pouls de la situation concernant les possibles réfugiés.

Lire la suite de l’article sur lefigaro.fr

 

(Si la vidéo ne se déclenche pas, elle figure tout de même dans l’article du Figaro dont le lien se trouve ci-dessus) :

 


 

« Hébergement citoyen » de réfugiés : comment se passe la cohabitation ?

Emmanuelle Cosse veut développer « l’hébergement citoyen ». Dans un communiqué publié le 10 août, le ministre du Logement a appelé à étoffer « l’expérimentation de dispositifs d’accueil de réfugiés chez les particuliers ». « Ils seront logés à titre gratuit, sur tout le territoire national et dans des logements comportant au moins une chambre privative », est-il précisé.

 

 

« Une convention devra être signée entre le réfugié, le ménage d’accueil et l’association qui les accompagne. Les futurs hôtes s’engagent pour une durée minimum de trois mois et jusqu’à un an ». Selon Le Monde, au moins 500 migrants logent actuellement chez des particuliers, dans la majorité des cas grâce à des associations. Mais comment s’organisent ces rencontres ? Et comment se passe la cohabitation ?

Contactée par metronews, l’association Singa qui a lancé son projet « Comme à la maison » (CALM) en 2015, se charge de loger des réfugiés chez des familles volontaires. « Contre toute attente, nous avons reçu 7 000 inscriptions d’hébergeurs potentiels en deux jours », explique Juliette Arzur, directrice du réseau d’accueil de CALM. 

[...]

 

Puis un premier rendez-vous est organisé dans un endroit informel, comme un café. Avant que la cohabitation ne débute, la famille, le réfugié et l’association signent un contrat stipulant la date de fin de l’accueil (généralement trois mois) et les règles de respect à suivre.

[...]

« Sur 300 accueils, seules 13 médiations ont eu lieu pour renouer la communication entre les différentes parties. Et seules cinq cohabitations ont été interrompues. Outre cela, des amitiés fortes sont nées », raconte-t-elle.

Lire l’article complet sur metronews.fr

 


 

Hébergement de réfugiés : « Je n’ai pas attendu Emmanuelle Cosse pour agir »

Le ministre du Logement veut favoriser l’accueil de réfugiés chez des particuliers. Une vraie mesure de gauche que des citoyens expérimentent depuis longtemps déjà.

 

 

[...]

« L’hébergement citoyen », Linda connaît bien. « Je n’ai pas attendu Emmanuelle Cosse pour agir », confie celle qui, avec son mari et sa fille, héberge des migrants depuis 2014.

Dans le Calaisis, la première rencontre s’est faite par hasard, avec un Syrien venu sonner à leur porte, un jour de grand froid. Linda et Yves lui ont donné à manger puis l’homme est reparti. Au fils du temps, leurs liens se sont renforcés et le réfugié est venu vivre chez eux pendant quatre mois, jusqu’à ce qu’il finisse par réussir à passer en Angleterre.

Ensuite, il y a eu Younes et Nassim, rencontrés à l’Ecole laïque du Chemin des dunes, dans le bidonville de Calais. Cette fois encore, des affinités se sont créées.

« Quand la partie sud de la jungle a été évacuée par les autorités, en plein hiver, ils sont venus à la maison où ils ont passés six mois, dans une confiance absolue et réciproque. »

Pour Linda et Yves, accueillir des réfugiés chez eux reste une démarche très personnelle. Leur engagement ne pourrait sans doute pas passer par cadre administratif :

« Nous sommes dans la rencontre, dans l’échange, dans la relation humaine, insiste-t-elle, et surtout, c’est en aucune contrepartie. »

Lire l’article complet sur tempsreel.nouvelobs.com

 

Et pour clore ce dossier à la pointe de l’actualité migratoire, une réaction humoristique sur Twitter :

Emmanuelle Cosse, tout un symbole, voir sur E&R :

 






Alerter

56 Commentaires

AVERTISSEMENT !

Eu égard au climat délétère actuel, nous ne validerons plus aucun commentaire ne respectant pas de manière stricte la charte E&R :

- Aucun message à caractère raciste ou contrevenant à la loi
- Aucun appel à la violence ou à la haine, ni d'insultes
- Commentaire rédigé en bon français et sans fautes d'orthographe

Quoi qu'il advienne, les modérateurs n'auront en aucune manière à justifier leurs décisions.

Tous les commentaires appartiennent à leurs auteurs respectifs et ne sauraient engager la responsabilité de l'association Egalité & Réconciliation ou ses représentants.

Suivre les commentaires sur cet article

Afficher les commentaires précédents
Afficher les commentaires précédents