Le général Soleimani, héros de la Révolution islamique d’Iran, a été assassiné par des armes ultra modernes de l’impérialisme yankee lancées contre le véhicule civil dans lequel il avait quitté l’aéroport de Bagdad.
Il n’a pas été attaqué à l’intérieur de l’aéroport, de façon à ce que les traîtres infiltrés là soient protégés. Peu après une provocation à l’aéroport de Téhéran et à la base aérienne, la Défense iranienne abattait par erreur un avion de passagers ukrainiens qui venait de décoller de l’aéroport. Après l’assassinat du martyr Soleimani ainsi que celui des importants camarades irakiens qui l’accompagnaient, ont été lancés au titre des représailles des missiles contre une base militaire yankee dans la partie occidentale de l’Irak ; Washington cache le nombre de victimes...
L’assassinat du général Soleimani est probablement une idée des criminels sionistes, qui devaient être installés sur la base, attaqués comme ils l’étaient depuis la première guerre contre l’Irak en 1991, dans le Kurdistan irakien.
Le général Soleimani revenait d’un voyage secret en Syrie et au Liban ; il est trahi par des agents yankees à l’aéroport de Bagdad. Israël tente de détruire le régime islamique révolutionnaire au pouvoir en Iran, le seul pays musulman (appartenant majoritairement à la secte chiite) véritablement indépendant ; aucun autre ne l’est ? Le Hezbollah libanais est une organisation politique et militaire de chiites (armés par l’Iran), sur la première ligne de défense contre les agresseurs sionistes, qui ont peur d’eux.
La République arabe syrienne, présidée par l’excellent Bachar el-Assad, résiste aux agressions manipulées par les agents du gouvernement de Riyad, grâce à l’assistance russe (depuis les années 1950) et à l’intervention des Gardiens de la Révolution iraninienne commandés par le général Soleimani. Paix à son âme.
Les autorités ont fait preuve d’une grande intelligence stratégique et répondront à l’agression yankee-sioniste au moment approprié, avec les pays appropriés, et avec les armes appropriées.
Vive l’Iran indépendant, et son martyr symbolique, le général Soleimani.