L’idée n’est pas ici de promouvoir les violences contre les femmes. Il s’agit juste d’illustrer une idée qui gagne du terrain chez les (jeunes) féministes, à savoir qu’elles n’ont pas seulement des droits, mais qu’elles ont tous les droits, dont celui d’agresser les hommes.
Se croyant protégées par des lois culturelles issues de l’activisme de communautés minoritaires (MeToo, exaltation du féminicidisme, ce délire victimaire ultime), elles osent tout.
Cette agressivité manipulée et encouragée par le Système peut toutefois se heurter à la nature profonde des hommes, qui n’est pas la violence, mais la défense réflexe de son intégrité physique, le banal instinct de survie.
Dude tried to not go hands on.
Do you think this was justified ? pic.twitter.com/YIvNhyc76I— CCTV IDIOTS (@cctvidiots) July 2, 2024
La féministe, une espèce qui se croit protégée
Ce faisant, la fille cherche naturellement à provoquer la réponse de l’homme, qui ne peut être que violente, en bout de course et à bout de nerfs. On voit bien dans cet extrait que le jeune homme tente de raisonner la fille, tout en essuyant insultes et coups. Prenant ce comportement pour de la faiblesse, alors qu’il s’agit de respect de la femme, la fille s’enhardit, et finit par valdinguer.
Les femmes d’avant ce féminisme agressif savaient manipuler avec dextérité la potentielle violence explosive de l’homme. Elles étaient devenues expertes dans l’art de ne pas trop jouer avec le feu, mais de jouer quand même avec. Aujourd’hui, les pauvres Femen et autres néoféministes sont poussées par le Système à rendre les hommes fous, à la fois de désir par l’exhibition de leurs formes ou de leur nudité, et par leurs provocations haineuses permanentes.
On peut dire que les féministes nouvelle génération forment une division de l’armée de réserve du Capital, les autres étant celles des chômeurs et des migrants. Car l’homme en tant que tel, avec sa virilité, c’est-à-dire sa capacité de réflexion et de résistance, est l’ennemi numéro un du Système (mercantile néolibéral).
Enthoven est une Femen
Les jeunes filles les plus déstructurées sont donc envoyées au front chercher les vrais mecs, comme d’autres cherchent la bagarre. Beaucoup d’hommes, pour ne pas tomber dans le piège de la réponse violente, préfèrent se soumettre, et souffrent en silence devant ces chiennes hurleuses et mordeuses. On dit qu’ils se féminisent. On dira plutôt qu’ils sont féminisés de force.
Malheureusement pour ces amazones, tout porte à croire qu’elles sont sacrifiées par leur manipulateurs, et qu’elles sont considérées comme de la chair à canon. Ce sont en général les plus méchantes ou les plus médiocres qui tombent dans le panneau. On agite le chiffon rouge du Mâle, du Père ou du Patriarcat, et ces féministes foncent, toutes griffes dehors.
Ce schéma fonctionne à l’identique avec les autres communautés victimaires (LGBT, « racisés » et compagnie). Quand un Raphaël Enthoven insulte les Français et ses ennemis politiques à longueur de journée, on se demande s’il sait ce qu’il fait, au fond. C’est-à-dire s’il n’est pas l’objet – à son corps défendant – d’une autorité qui l’utilise pour pousser les Français à la faute.