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"Une abrutie de la sécurité a fouillé trois fois nos bagages et après l’enregistrement, tandis qu’elle nous surveillait encore, j’ai passé un doigt sous son menton, disant ironiquement à mes assistants : « Look how charming she is (Regardez comme elle est charmante) »", a relaté à l’AFP Claude Lanzmann, démentant tout autre geste.
"Elle a été se plaindre à sa supérieure qui a foncé sur moi, m’a arraché mon passeport et a appelé la police", a-t-il ajouté. Au terme de l’interrogatoire, "on m’a ramené à l’avion qui m’avait attendu pendant plus d’une heure trente", a précisé le cinéaste.
"Rien ne s’est passé, sauf que les filles de la sécurité à Ben Gourion sont des grandes malades et qu’à en juger par leur comportement, Israël est un mélange de Kaboul, de Téhéran et des spécialistes des « gender studies » aux Etats-Unis", a-t-il ironisé.
L’employée était peut-être encore dans son berceau à l’époque où Claude Lanzmann recherchait puis cuisinait des témoins en Pologne et en Israël. Il quitte Israël et les douaniers ne le reconnaissent pas ? Le devoir de mémoire c’est pour les chiens ? Normalement, c’est l’employée qui aurait dû se jeter au cou de papy Shoah pour l’embrasser. Cette pétasse de féministe devrait être conduite à Yad Vashem pour s’y agenouiller et y expier sa faute.
Que le réalisateur du film Shoah ne soit pas dispensé de contrôles de sécurité et autres formalités douanières est proprement révoltant. C’est la Shoah par l’ingratitude !
En revanche, si l’employée dit vrai, Claude, n’aurait pas résisté à ses pulsions en présence de cette femme, puis ment face aux médias. C’est terrible, car on pourrait dès lors être amené à douter de son honnêteté, de sa droiture y compris sur le plan professionnel. Et on se met à imaginer que certains témoins polonais, peut-être alcooliques, vivant à la campagne dans un certain dénuement ont pu se laisser aller à raconter - quelques bouteilles de vodka ou billets aidant (l’homme est faible) - ce que Claude attendait d’eux lors du tournage du documentaire-fiction Shoah.
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