" Il faut toujours penser nécessité politique, nécessité économique, en terme marxiste ". C’est un aveu clair des prémices et objectifs du marxisme, soutien idéologique de cette société " progressiste ". Mais parlons-nous du politique ou de la politique ? L’argent et l’arrivisme, cela me parait réducteur et non premier. Cela évacue encore et toujours l’idée de dieu (brahman, l’inconnaissable) et de l’ordre du monde (dharma, la loi) qui sont les fondements du monde traditionnel. Pas étonnant que l’on retrouve cette haine de la religion et du religieux dans les grandes luttes de pouvoir du capitaliste dictatorial. On s’aperçoit aussi de cette supercherie gauchiste qui tente de pervertir les spiritualités en les adaptant au gout du jour, de la consommation, de la jouissance, de l’individualisme, de la perversité.
Pensez-vous que l’Orient ou l’Asie " pensent " comme l’occident (faux occident et Amérique judaïsée, terre promise fantasmée, réveillez-vous !) et doivent " changer ", (le changement marxiste c’est maintenant ) parce que c’est inéluctable ? Il y a des cycles au temps et nous sommes dans le plus difficile et final, l’âge de fer, des conflits. Si le marxisme explique la politique et l’économique, il ne détermine pas la marche du monde.
J.I.
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