"Dans les nouvelles familles, homoparentales ou gauchistes, on évite cet écueil en offrant carrément la poupée rose au garçon et le soldat bleu à la fille."

Dans un rare et grand moment d’honnêteté radiophonique, j’entendais deux chroniqueuses über-gauchistes de Radio-Canada (je crois que c’était à l’émission de la flippée McQuade, ou celle de la non moins flippée Arseneaut) expliquer qu’elle avaient tout fait pendant des mois pour refourguer des jouets "mâle" à leur filles et des jouets "femelles" à leur fils, mais que leurs enfants revenaient invariablement vers les jouets "genrés selon leur sexe assigné à la naissance par un toubib rétrograde", comme ont dit dans l’auguste radio d’état. Quel moment de jouissance ça a été d’entendre ça !

Bonjour à tous , j’habite en Bulgarie et depuis quelques mois , il est interdit de faire de la propagande LGBTQQ ,car une lois à été voté par le parlement à Sofia qui empêche le prosélytisme homosexuel à l’école et dans les lycées.

Bonjour Monsieur,

J’ai quelques années de moins que vous (au début de la cinquantaine) mais la mort, et particulièrement la mienne, est là, de plus en plus proche. Elle occupe mes pensées de façon croissante mais sans que cela soit morbide. Au contraire.
J’ai fait des choses dont je ne suis pas fier du tout, j’ai causé du tort à certaines personnes et même fait souffrir d’autres. J’ai le sentiment d’être passé à côté de tant d’occasions d’apprendre, de devenir une meilleure personne, d’avoir gâché tant de temps dans des occupations vaines et même stériles.
Je pourrais redouter cette échéance prochaine. Redouter un jugement ou que sais je encore. Pourtant, la Mort est un sujet d’espérance pour moi.
J’ai, comme la plupart des humains semble-t-il, peur de cet Inconnu qu’il y a au-delà de la Mort.
Je n’adhère à aucune religion mais je crois en l’existence de ce que, faute de mieux, nous appelons Dieu (nul langage ou esprit humain ne saurait rendre compte de l’Éternité et de l’Être par excellence).
Ce monde est devenu atroce pour trop de nos semblables et pour l’ensemble du Vivant. C’est la fin du cycle de l’humanité actuelle. Je doute fort de connaître la prochaine.
Mais j’espère simplement rentrer chez moi. C’est là que réside mon espoir. Retrouver ma vraie patrie, mon foyer.
Peut-être qu’ensuite on me renverra pour apprendre à nouveau, dans la peau d’un nouvel humain. C’est ce que certains croient. Moi je n’en sais rien et je crois que, dans le fond, personne n’en sait rien.
Le plus important est que je revoie mon foyer, même si je dois errer de vie en vie, ici et ailleurs. Tant que je peux retrouver ma "terre natale" de temps en temps, jusqu’à ce que je puisse y demeurer à jamais, dans la contemplation de l’Être.
Alors donc je comprends votre perplexité et votre angoisse.
Puisse la Mort nous ouvrir les yeux sur la Vie.

Bien à vous

Le seul remède c’est de profiter à fond de chaque jour comme si c’était le dernier ...
J’ai le même âge , ça fonctionne parfaitement.

Bah, la mort est une libération. C’est tellement mieux "là-haut" !
Ecoutez les experiences de mort imminente vécues par les patients du Dr Jean-Jacques Charbonnier médecin anesthésiste à Toulouse sur QUI tombent tous les médias de grand chemin. Preuve, comme pour Soral, Dieudonné... etc. qu’il est dans le vrai.

@gigi

Je suis content pour ton garçon.
Je pense qu’il va à la maternelle, soit vigilant, pose lui des questions sur les livres qu’on lui propose, les histoires qu’on lui raconte, s’l y a des conteurs qui viennent, car comme tu le sais , des drag queens sont parfois invités . Les raclures qui nous gouvernent ne reculent devant rien pour manipuler nos enfants

Voilà. Figurez-vous qu’il y a quelques années j’ai vu passer une étude de psychologie expérimentale extrêmement bien faite mais dont les auteurs se désolaient au vu des résultats obtenus : des enfants des deux sexes auxquels on proposait des jouets soit de fille (poupée, épicerie, etc.), soit de garçon (tracteur, révolver, etc.) se décidaient spontanément et invariablement, en dehors de toute contrainte (et ouiiin ! contre toute attente), pour les jouets adaptés. De même, une amie de ma mère, quand j’étais enfant, m’avait acheté une poupée noire pour Noël (des cocos de la ville, on était au début des années 1960), j’ai foutu cette chose dans la soute à boulets (la petite réserve domestique de charbon, livré sous forme de "boulets"). Je ne pouvais pas espérer me faire offrir un révolver ou une carabine, alors j’ai fait de menus travaux - à 8 ans ! - et puis je me suis secrètement acheté une carabine en plastique à canon scié "comme Joss Randall" à la roulotte du quincailler qui passait une fois par semaine. La pression idéologique, même domestique, ne peut rien contre l’instinct naturel.