E&R | Mars 2022 |92 | FuturHumourInternationalPeopleSocial |
Réponse à la question en titre : on n’espère pas. Nous, les pauvres, n’avons pas les moyens de nous acheter ou nous faire construire un bunker anti-atomique. Déjà qu’on a du mal à payer notre loyer, alors acheter un bien, une résidence secondaire sous terre, n’y pensons même pas. C’est pourtant la préoccupation de nos people et milliardaires, qui vivent dans la peur de tout perdre, et qui s’achètent en (...)
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En forêt les crosses des fougères sont comestibles, évidemment tant que la fougère n’est pas fanée . Au cours des grandes famines de jadis ceux qui devaienr s’en sortir le mieux c’étaient les habitants des côtes à marées : ressources de la pêche à pied . Moules palourdes couteaux huitres crevettes etc...
attention il n’y a qu’une seule espèce au monde comestible apparemment : fougère a l’autruche.
Autrement si vous habitez pres de la mer, les patelles collées sur les rochers sont excellentes et personne ou presque ne les mange ni ne sait que ca se mange (en cas de coup dur je pense que ca change très vite). Avec de l’oignon bien revenu dans un bon filet d’huile d’olive, beaucoup d’ail, du jus de citron, beaucoup de coriandre, déglacé a la bière ou vin blanc, du poivre, une pincée de sel. Ne surtout pas trop les cuir c’est l’affaire de 5minutes pas plus on les rajoute a la fin une fois que la sauce est prête, a déguster avec du pain ou des frites, on peux faire un riz avec aussi meme recette.
@pseudonyme,qu’est ce que tu appelles "patèlles" ??
Ce que nous à Marseille nommons arapèdes ???
Patelle, arapède, bernique, chapeau chinois = synonymes .
Ce genre de pratique doit rester exceptionnelle !
Au mieux ça inflige une grave blessure à l’arbre
Au pire il va très certainement mourir
Retirer sa peau ça revient au même principe que pour nous, c’est la porte d’entrée à toutes sortes de champignons qui fatalement vont le tuer...
Donc oui ça peut "sauver la vie", mais avant tout ça doit rester exceptionnelle sous peine de décimer d’avantage nos forêts (déjà bien réduite par toute l’urbanisation)
Ce que je veux dire c’est, si tous les Jacky-adventure après avoir vu cette vidéo se mettent à saigner les arbre pour le fun, je ne trouve pas ça pertinent et totalement contre productif pour nos forêts...
L’arbre ne risque rien si tu ne fais pas tout le tour, pas plus de 30cm. On parle de survie, je doute que tout le monde va s’amuser a le faire ca a pas l’air super appétissant non plus.
je sauve l’arbre ou je sauve ma vie ? je vais faire un jeûne méditation de 8 jours pour prendre ma décision merci de ton commentaire oh combien utile
Non. Les arbres ont évolué de manière à être capable d’endurer ce type de stress qui dans la nature sont banals et réguliers : branches qui cassent sous le poids de la neige ou des fruits trop lourds, le vent...les cervidés qui se frottent sur le tronc...certains insectes s’attaquant au bois vivant, la foudre...par expérience personnel, je suis paysan cultivant des arbres fruitiers et aussi un peu forestier, j’ai pu observer de mes propres yeux l’extrême résistance des arbres. Un arbre qui meurent suite à ce type de blessure est un arbre qui était déjà affaibli pour une raison ou une autre. Mais un arbre normal, en bonne santé ne mourra pas à cause de ça. Ce qui ne veut pas dire que l’on doit écorcer tous les arbres...mais qui aurait cette idée à la con ?
Roy : il n’y a jamais eu autant de forêt que de nos jours ces 10 ou 20 derniers siecles, renseigne toi.
De plus ce n’est pas le sujet.
Bah non Roy, écorcer partiellement un arbre sain ne le condamne pas forcément. La superficie de forêt en France est en constante augmentation, on a jamais eu autant d’arbres. En revanche on a perdu en qualité avec la monoculture et l’abattage précoce qui ne permet pas le retour des minéraux dans le sol.
De toute façon on parle de survie, 95% de la population crevera à la première pénurie de pq, s’il y a moins de d’humains la forêt envahira toutes nos terres, buter des arbres sera un acte ecolo et salutaire.
Forestier de formation, dégouté par la gestion de nos forêts privées. L’ONF n’existe plus. Salut
@Roy ,Charles et les autres
Je pense que ce débat n’a pas lieu d’être
La nature nous survivra
Regardez Tchernobyl aujourd’hui, y’a de très bonnes vidéos, la nature a repris ses droits
La nature ne disparaîtra jamais
Nous si
A Roy
Mais non, l’arbre ne va pas mourir. Cette vidéo a été, selon toute vraisemblance, tournée dans les Landes (pins, chênes lièges, genêts et ajoncs, bruyère). Or, les pins y ont été résinés pendant des siècles et ils ne mourraient pas pour ça, même après plusieurs années d’exploitation. On les résinait "à mort", c’est à dire qu’on entaillait tout le tour du tronc, juste avant d’abattre l’arbre, après des décennies d’exploitation par les résiniers.
@reveil électrique
Bien d’accord avec vous !
Cette odieuse prétention qu’ont les soit disant écolo à vouloir "sauver la planète" ! Mon cul !
Les planètes ont tourné avant nous et le feront après, le co2 est un cadeau, tout ce qu’on peut faire est d’essayer de sauver nos âmes.
Bonnes idées, si nous sommes en détresse.)
Mais si milliers de personnes essaye cela plusieurs fois sur les arbres.... J’ai peur pour eux...(les arbres, et faut faire attention aux intoxications en en mangeant bien entendu) sinon, les arbres bien sûr, perdent du temps à pousser à cause de cela, meurent à l’intérieur, ( attention pas plus d’un tiers sinon l’arbre peut mourir entièrement ).
1- Tres instructif
2- Sympa : il ressemble à Hervé Ryssen
3- On attend le Ministere de la Santé et les Fact-checkers pour nous dire : non non, le cambium c’est toxique, le MacDo c’est meilleur... :)
Manger du bois tendre est idiotique. Technique sophistiquée et laborieuse pour bobos des bois...
Non, la vraie bouffe de survie gourmet ?
1- Trouve-toi un bon vieux tronc tout pourri, 2- fracasse-le sur un gros cailloux et voilà !
Une myriade de vers à bois tous gras, tous dodus ! Bourrés de protéines et de vitamines A, B, ...XYz, et tellement tendres et juteux sous les dents, mmmhh :-)
surtout qu’en Europe il y a les glands des chènes, on en fait une farine très correcte qui a nourri les européens jusqu’au moyen âge.
pour mourrir de faim en forêt il faut être vraiment un blaireau : entre autre les jeunes pousses des plantes et les fruits des arbres) juste quelques connaissances des plantes et c’est un supermarché gratuit (et c’est partout pareil dans le monde, même dans les régions désertiques, il y a plein de trucs à manger)
Enfin quelqu’un de raisonnable. Effectivement cette technique n’est pas fonctionnelle. D’abord l’énergie dépensée pour se préparer ce "repas" à base de cambium sera plus importante que celle que rapportera ce repas. Par ailleurs il est impossible à notre époque, à moins d’être gravement blessé et incapacité, où d’être au fin fond de l’Amazonie ou de la Papouasie d’être perdu suffisamment longtemps pour mourir de faim. On peut tenir facilement deux semaines sans manger. Ce n’est pas agréable, on souffre surtout au début...mais on s’y fait et on survit. Les gens perdu ne meurent jamais de faim mais :
de froid
de soif.
Donc la priorité c’est de toujours partir en randonnée avec un briquet sur soi ou de savoir de manière infaillible comment faire un feu par friction avec les matériaux naturellement disponibles localement. Le feu permet d’une part de maintenir la chaleur corporelle et d’autre part grâce à la fumée de se faire très aisément repérer de loin et même très loin (plusieurs dizaines de km) par temps dégagé. Savoir comment faire un abri de fortune protégeant du vent, du froid, de la pluie...
Ensuite si on est en été et en particulier sous les climats chaud trouver en priorité un point d’eau potable. La soif incapacite et fait mourir très très vite.
Quant à la survie sur la longue durée, c’est à dire une durée dépassant nos capacités de survie sans apport calorique...cela n’est même pas la peine d’en parler ! A moins d’avoir fait une formation spécifique longue, minutieuse et authentiquement sérieuse c’est impossible ! Les connaissances et la maîtrise technique nécessaire à cela sont trop pointues et vastes pour le commun des mortels. Par exemple les animaux sont la seule source d’énergie suffisamment dense et largement disponible sur laquelle un être humain peut compter pour survivre sur la longue durée en milieu naturel. Les plantes non domestiquées sont très difficile à digérer, de faible densité nutritionnelle, demande une préparation laborieuse pour être consommable...et les rares fruits riches en sucre/amidon assimilables sont souvent becquetés par les animaux avant que tu les découvres ! Or le piégeage demande des compétences dans divers domaines (compréhension du comportement des animaux, de leur biologie, psychologie...habileté technique pour fabriquer des pièges fonctionnelles...) qui ne s’improvise pas mais devant passer par un apprentissage authentique au même titre que l’on ne s’improvise pas chirurgien, charpentier, maçon...
On peut aussi se le fracasser sur la tête comme ça on fait un gros dodo, et on oublie qu’on a faim ! :)
N’empêche que tu as raison, les larves cuites c’est délicieux. Les cocons de vers à soie quand ils sont assez gros pour ne pas manger la gangue (amère) mais juste l’intérieur. Comme de l’omelette avec du viandox. Miam !
Les termites mâles volantes qui sortent de terre au début de la mousson. Délicieux vivant tel quel. Snack apéritif légèrement salé. Il suffit de voir à quel point les geckos et les singes en raffolent.
Pour les forêts de feuillus tempérées/humides, outre l’oseille qui abonde, les noisettes de terre : le met préféré des lapins. Ca ressemble à une petite pousse de carotte. Creusez un peu et vous trouvez une délicieuse tubercule comme une noisette facile à peler avec l’ongle. Un délice.
Si je vois un type en train de se filmer à scalper mes boulots, j’appelle les flics et j’lâche les chiens...
Dans le 93 , ils font pareil avec les poteaux électriques
Le boulot, ça fait déjà un bail qu’il est scalpé, notamment pour ceux qui sont tributaires de leur voiture et du prix du carburant pour faire leur 60 km (c’est une moyenne) journaliers. Ceux-là , leur suc est déjà ponctionné par l’état , un peu comme on prélève l’eau d’érable que l’on fera bouillir pour fabriquer le sirop.
Les bouleaux, c’est une autre histoire...
Plus maintenant, les poteaux électriques sont en béton et paraît-il l’écorce est plus dure et moins digeste
Attention
Technique similaire à la récolte de la sève d’hevea (caoutchouc) ici en Afrique. Les arbres n’en meurent pas si c’est bien fait (face ’A’ en année une, face ’B’ en année 2).
En Afrique, pas ou peu de saison, des fruits toute l’année, des terres non surexploitées. Un bon plan pour la survie.
Bémol :
Y être physiquement avant le déluge (après bye bye avions visas et coton tige dans l’nez...)
Y avoir été accepté avant le début des hostilités (et être utile à la communauté).
Bonne suite de programme à tous !
Que Dieu vous garde.
J’émets trop grosses réserves quant à ces techniques de survie. Souvent l’énergie dépensée pour préparer ce genre de "repas" dépasse l’énergie que peuvent apporter ces substances certes comestibles mais d’une très faible densité nutritionnelle, peu digeste... Pour le rappel on peut tenir sans trop de souci pendant 2 semaines sans apport calorique, donc l’urgence n’est pas de perdre une énergie précieuse a récolter et préparer des aliments dont la densité nutritionnelle n’en vaut pas la peine. Je conseillerais plutôt les très jeunes feuilles tendres, les bourgeons des arbres comestibles et certaines fleurs beaucoup plus aisé à récolter, suffisamment digeste pour être consommé cru. L’apport calorique sera aussi faible mais permettra d’apaiser la très désagréable sensation de faim.
L’urgence quand on est perdu c’est d’être capable de faire un feu afin de :
pouvoir se faire repérer par les secours grâce à la fumée. Feuilles et bois humide dégageront une fumée visible sur des kilomètres.
Maintenir sa chaleur corporelle en particulier la nuit et l’hiver. Vous mourrez d’hypothermie bien avant de mourir de faim ! Même le ventre plein avec 5000 calories de fondue savoyarde vous pouvez mourir de froid !
Il est à notre époque impossible à moins d’être perdu au fin fond de la Papouasie-Nouvelle Guinée de se retrouver dans une situation où vous risquez d’être perdu pendant une durée suffisante pour mourir de faim ! De soif oui, mais pas de faim ! Mais imaginons l’impossible, vous êtes perdu sans possibilité d’être retrouvé avant des semaines...ce qu’il faut faire c’est de trouver un point d’eau potable. Là où il y a de l’eau on peut bien évidemment s’hydrater, mais on peut aussi se procurer des aliments ayant une raisonnable densité nutritionnelle et relativement aisés à se procurer (poissons, crustacés, grenouilles...)
Faire un abri protégeant des intempéries, du vent, aidant à maintenir la chaleur corporelle...
Mais sachez que la survie sur la longue durée en milieu hostile non humanisé cela ne s’improvise pas. Cela demande un apprentissage minutieux et cela se prépare. Seul les gens ayant des années de pratiques peuvent survivre sur le long terme en pleine nature. Apprendre à faire des pièges pour attraper des animaux (les animaux sont la seul source d’énergie qui permettent d’envisager la survie sur la longue durée en milieu naturel), à faire du feu par friction avec seulement des matériaux locaux disponibles...c’est difficile !
Vous voulez un conseil sérieux pour survivre si vous vous perdez dans la verte ? Sortez toujours en randonnée avec un couteau de bonne qualité à lame fixe (un Mora à 15 balle fera l’affaire), et un briquet. Et évitez de trop vous éloigner du lieu où vos proches sont sensés savoir où vous étiez allé (afin de faciliter les recherches). Point barre. Le reste c’est du pipeau.
Je n’ai jamais entendu parlé de quelqu’un mort de faim après s’être perdu en pleine nature. Les gens meurent toujours soit suite à un accident (chute mortelle), et plus souvent de soif ou de froid. Donc si vous êtes perdu la chose prioritaire à faire c’est faire du feu pour maintenir votre chaleur corporelle, et vous faire repérer grâce à la fumée. Si vous estimez que les secours risque de mettre plusieurs jours avant d’être alertés pour se mettre à votre recherche...si vous êtes dans un coin vraiment paumé où la fumée de votre feu risque de ne pas se faire remarquer (cas rare dans nos contrées) alors vous devez en priorité trouver un point d’eau potable (rivière, ruisseau) A moins d’être dans le désert, c’est relativement aisé sous les climats tempérés et tropicaux, et même semi aride. Il suffit d’observer la topographie, la croissance des arbres...pour repérer où se trouve un cours d’eau...La soif rend fou, fait paniquer, perdre la tête très vite ! Si il a fait chaud, que l’on a beaucoup transpiré, quelques heures seulement d’un état de déshydratation en situation de stress cela altère considérablement notre état mental et physique ! En gros en 48 h si vous n’avez pas trouvé d’eau vous êtes niqué même si vous êtes encore en vie. Ensuite cela sera une longue agonie avec hallucinations, crises de nerf... qui durera 2, 3, 4 jours puis la mort. La faim vous rendra dingue pendant un ou deux jours, vous aurez les crocs, serez énervé, mal à l’aise...puis ça passe. Pendant 2 ou 3 semaines vous pourrez fonctionner normalement grâce à vos réserves graisseuses...donc trouver un point d’eau, et faire du feu pour vous réchauffer et faire repérer ce sont les deux seules choses raisonnable à faire dans 99.9% des cas.
Quant à la survie sur le long terme en milieu hostile cela ne s’improvise pas. Cela demande de véritables compétences techniques dans un nombre considérable de domaines et un apprentissage long et sérieux comme le serait celui consistant à apprendre la menuiserie...
Bonjour,
Est-ce que ça fonctionne avec les
pins de Douglas ?
Il y a une forêt à côté de chez moi où il
n’y a que ça.
Pfff entre 300 et 1000 mètres d’altitude ils ne plantent plus que ça. Ça fait de la charpente médiocre et ça stérilise les sols au bout de 4 rotations, mais, ça se récolte à 40 ans, celui qui les plante étant jeune aura une belle retraite.
Je n’ai pas répondu à votre question, j’ai déchargé ma haine rance antidouglas.
pareil dans les landes mono culture obligatoire (pour toucher les aides de l’UE) une seule variété de pins importés qui appauvrissent la résistance des fôrêts landaises où les maladies explosent.
Les Landes était un marécage et L’ensemencement massif de pins a été amorcée en Pays de Buch pour arrêter la progression des sables mobiles et assainir le sol dès le XVIII e siècle , À l’intérieur des terres, il est la solution idéale pour drainer l’eau des marécages, responsables de la propagation du paludisme. Entre autres...