Au départ, on voulait mettre un titre plus choc, Corinne Masiero, putain un jour, putain toujours, mais on a n’a pas les moyens de faire face à plus de procès qu’il n’en faut, actuellement. Alors on a opté pour ce titre un peu lâche, un peu demi-mesure, en un mot mauvais. Parfois, dans la vie, il faut être prudent, parfois pas.
On n’est pas là pour diffamer, mais on n’a pas envie – notre réputation de valeureux nous précède – de passer pour des mainstreameurs qui font dans leur couche du matin au soir. Car tous portent des couches MenStrim, une marque spéciale pour journalistes soumis. On en profite pour rappeler que la soumission, si elle rapporte de l’argent, engendre des dégâts organiques qu’on a du mal à mesurer, au départ. Et quand ils surgissent, il est souvent trop tard.
- Botox ou pas botox ?
Après ce préambule, passons à l’info : ce n’est pas la première fois que Masiero revient sur son passé de tox, sa résilience et le conte de fées que la presse people nous vend. Pensez, une actrice moche, en galère, comme on en a tous connues, qui explose à 50 balais passés, qui fait de l’audience et des seins en or (en plus, toute gauchiste qu’elle est, on dirait qu’elle s’est fait retoucher), c’est du gâteau. Elle devient la tête de gondole de France Télévisions, se fout à poil à la soirée des César, c’est quand même osé, plus que nous avec notre titre. Oh et puis zut, on va faire une Masiero :
Corinne Masiero, putain un jour, putain toujours
Comme elle est de gauche, elle va comprendre que c’est du même ordre que sa provo chez les morts-vivants du cinéma français, mort de subvention et de consanguinité, ces deux maladies qui ne touchent pas le cinéma américain et qui expliquent qu’ils font toujours des bons films, ces enfoirés. Nous, avec la bande de progressistes qui gèrent l’industrie du divertissement, des producteurs aux acteurs en passant par les réalisateurs, on n’a droit qu’à de la merde, mais quand on dit de la merde, c’est de la merde.
Dès qu’on a un QI de plus de 75, on souffre devant un film français, et ça baisse année après année. C’est lent, lourd, attendu, mièvre et mal écrit. Du coup, nos comédiens, qui sont souvent bons – car il y a encore de bonnes écoles d’art dramatique chez nous –, se retrouvent à jouer de la merde pour des cons, et c’est dommage, parce qu’il y a tout un public qui attend du chef d’œuvre, ou au moins du bon, du respectable. La Grande Famille du Cinéma pas Français, la GFCF, le sigle qui sonne comme une loge maçonnique, n’est au final qu’une bande d’assassins. Ils ont tué le cinéma populaire. Et populaire ne rime pas avec vulgaire, bien au contraire.
Alors, Coco, pourquoi putain ? C’est elle-même qui le dit : elle s’est prostituée quand elle galérait, pour dormir ici, se payer sa dose là, bouffer, quoi. Et ça, on n’a pas à le juger. Public la cite :
« Je faisais des tapins à la sauvette quand j’avais besoin d’argent ou juste pour dormir chez quelqu’un. Sinon, je dormais dans un recoin de vitrine, un parc, un garage, un squat... ou dans un bureau que je nettoyais la journée. »
On ne veut pas faire la fine bouche, mais si Coco n’est pas super jolie aujourd’hui, à 58 berges, elle l’a peut-être été. Disons que c’était pas la bombasse d’Hollywood, plutôt la balayeuse de Bollywood, mais côté masculin, c’est pas vraiment mieux : l’ère des Delon et des Bardot est passée. La France doit se voir moche dans le miroir du cinéma.
D’accord pour putain un jour, mais putain toujours ? C’est pas un peu exagéré ?
Pas du tout, et là on entre dans le registre politique. Tout le monde sait que Coco roule pour Mélenchon (qui préfère les brunes très typées), ce qui est déjà un gage de bien-pensance.
Mais le pire n’est pas là : dans ses rôles et les épisodes de sa série (inepte) Capitaine Marleau, elle concentre tous, mais absolument tous les préjugés du progressisme. On l’a déjà écrit, on va pas le réécrire encore, ça figure en renvoi.
C’est dans cet ordre d’idées qu’on parle de putain, comme Minc qualifiait Macron, enfin les banquiers, de « petites putes » :
Une démagogie qui dépasse l’entendement
Putain, un peu connoté, a ici le sens d’employé servile, souple, à l’échine en caoutchouc. Masiero est devenue cette femme-sandwich qui charrie tous les clichés imaginables de la bien-pensance, sa série en est truffée, et on ne peut pas imaginer que ça lui soit imposé par la chaîne ou la production. Elle impose ses choix, son succès le lui permet. Masiero fait la promo du gauchisme.
Et un choix politique : pro-migrants (tous des victimes), antiraciste (on leur doit tout), féministe (elles sont si sensibles), anti-Français (ces ploucs), anti-hommes (ces salauds), anti-Blancs (ces assassins), homosexualiste (les gays sont si cool), sioniste (ils ont trop souffert), etc. Aucun courage là-dedans puisque c’est le sens du courant actuel, une idéologie imprimée par les décideurs du mondialisme que tout le monde connaît désormais, Gates, Lagarde, Schwab, Leyen, Macron, Trudeau, Epstein, Lang, et tous leurs obligés des médias ou de la culture qui épandent le poison dans les consciences par tous les moyens, dont le cinéma et la télé.
C’est la contradiction majeure des gauchistes, qui ne voient pas ou qui n’admettent pas qu’ils promeuvent le Mal derrière un faux Bien. Voter pour Mélenchon, c’est voter pour Macron, les LFI l’ont prouvé en 2017 et 2022. Malheureusement, certains ont un niveau politique qu’on ne peut pas relever, c’est comme ça.