Cuba c’est un grand pays plantation entre les mains d’un seul consortium, la famille Castro. Cette entreprise monopolistique au suprême degré vit du tourisme. Sans contact, et sexuel de préférence, avec le secteur économique du tourisme, c’est la misère noire pour la population. Ce pays et sa population n’ont pas les moyens de se payer le moindre soupçon de puritanisme au pouvoir, car en ce moment le gros des touristes même à bon marché qui peut se payer des séjours tout compris porte le drapeau de la diversité sexuelle même si c’est souvent à titre non pratiquant.
Les pays africains qui interdisent le passage en force des défilés de la Pride sur leur territoire sont boycottés par l’ensemble de la communauté des agences de voyage et de rencontre et pas besoin de vous faire un dessin à quel genre de chandelier s’éclaire cette communauté dont la volonté prévaut en ce secteur, au point que par prudence on renonce à permettre à Dieudonné de se produire jusqu’en Thaïlande.
Pour le régime comme pour la population s’ouvrir à l’arc en ciel de la diversité est une question de survie. Épouser un touriste en mariage gay a l’avantage pour le peuple de ne vouloir rien dire du tout sur le plan moral vrai, à part de participer à un carnaval de plus, mais de lui donner une possibilité supplémentaire de passer au nord en toute tranquillité en brisant le moins possible les relations conjugales régulières locales qui restent assez saines et conventionnelles.
Le régime féodal monopoleur d’état du clan Castro doit de ne pas avoir subi de "regime change" en faveur du retour des gens de la bande à Meyer Lansky (qui régnait sous Batista) aux entrées toutes particulières qu’il a dans le milieu ultra politically correct et ultra cancel culture des vedettes et des entrepreneurs de Hollywood, comme c’est à ce milieu en guerre contre l’humanité commune que Che Guevara doit d’être toujours bien vu en effigie sur un T-shirt. Car Che Guevara en plus d’être un communiste était aussi comme plusieurs leaders rouges de très haut niveau un sataniste mystique.
Enfin Cuba a dû sur le plan culturel suivre de très près les goûts de la bourgeoisie culturelle parisienne passée du marxisme totalitaire au mondialisme totalitaire ne serait-ce que pour permettre à ses artistes de vivre et de publier sous l’étiquette World Circuit.
Cuba, il ne faut pas se leurrer, a joué un rôle pour l’état profond US de disposer pour terroriser sa population d’un danger communiste réel et à la porte.
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