Nouveau bad buzz pour Cyril Hanouna qui a déchaîné les foudres de ses fans sur un internaute. Jérôme Godefroy, journaliste radio, a eu le malheur de taquiner le célèbre animateur sur Twitter. Il le connaît pourtant personnellement pour avoir travaillé à la même période que lui sur RTL, lorsque Cyril Hanouna animait l’émission La bonne touche avec Jean-Pierre Foucault.
Attaque en masse
Cyril Hanouna s’étant trompé en donnant un horaire dans un précédent tweet, il écrit, hilare : « J’ai tweeté de la merde ! » Ce à quoi Jérôme Godefroy lui répond, voulant faire de l’humour : « Mais non Cyril ! Tu as tweeté comme d’habitude ».
Sauf que le roi du PAF n’apprécie pas vraiment que l’on se moque de lui… L’animateur de Touche pas à mon poste a alors fait appel à ses 5 millions de followers sur le réseau social : « Les chéris, y’a un mec qui est fan de moi, c’est @jeromegodefroy, je connais pas ce gars mais il tweete sur moi tout le temps », le tout accompagné des hashtags rassra (= anxiété, stress) et darka (= bonne ambiance).
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Ni une ni deux, les fans de Cyril Hanouna ont défendu leur idole en harcelant Jérôme Godefroy à coups de dizaines de tweets très agressifs et parfois même homophobes. Cela n’a pas manqué d’amuser Cyril Hanouna qui a commenté : « Les chéris, juste pour vous dire que vous me faites trop rire et que je vous aime, le mec est en rassrah ! @jeromegodefroy = big darka ! »
Au bout de plusieurs heures où les insultes continuent à pleuvoir, l’animateur vedette se décide à rappeler ses troupes : « Les chéris, profitez de vos vacances et arrêtez de vous prendre la tête avec ce bouffon de @jeromegodefroy ! Nous on kiffe ! »
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Très choqué, Jérôme Godefroy a dénoncé dans une tribune sur le Huffington Post le « pouvoir malfaisant et inquiétant » de Cyril Hanouna. Il dit avoir été « injurié, ridiculisé, accusé d’être jaloux du succès du maître » car l’animateur est « capable, avec quelques tweets, de déclencher un déferlement de haine ».
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« Les deux tweets d’Hanouna me désignant directement déclenchent la mobilisation de son armée de disciples. Les "fanzouzes" se déchaînent. Je suis injurié, ridiculisé, accusé d’être jaloux du succès du maître. Mon nom fait l’objet de railleries de potache : »