Voilà qui, en plus de rire (jaune) m’aura permis de constater que je n’avais pas vu l’article « Étienne Chouard répond au Décodex ».

« Vous me filmez sans mon autorisation ? »
Voilà qui me fait penser à deux choses.
La nénette du sketche de Coluche (Le blouson noir) qui râle parce que les quatre gus (dont Bob) qui viennent de la pécho ensemble dans les poubelles se mettent à fouiller dans son sac.
Ou à imaginer la reine de l’anal sur xPorn qui s’insurgerait de faire un selfie avec le premier passant venu.

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Merci c’est jouissif. Continue à les faire chier ! Pour notre plaisir !

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Monde...
De merde

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Chaque seconde contient sa dose de malaise, je me suis bien marré !!!

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Le ton est bon, les questions s’enchainent avec fluidité et les crocs dans le bas du pantalon ne lâchent rien, on voit de surcroît combien les journalistes pris au jeu du journalisme de rue sont faiblards et sans réparti. Humour et courage sont les bons outils de contrpieds pour dévoiler à ces journaleux qu’ils sont des couards plumitif qui ne dévoilent l’étendue de leur pensée qu’à l’abri derrière des bureaux sécurisés ! Bravo l’ami pour la bonne tranche...

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Génial et dérangeant. Vincent Lapierre stp prend exemple.

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Normal, peur de perdre leur soumission pour un argent très sale. C’est la liberté de se museler et d’avoir uniquement l’opinion de ceux qui leur glisse des sous.

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Recodex serait plus honnête. Des araignées fileuses de la matrice tentant de réparer le tissu de mensonges de l’espace mental obligatoire , qui se déchire sous les fulgurants assauts de la vérité .

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Le peuple fait bouger les lignes et les frontières .... Un grand merci à ce monsieur courageux qui fait un sacré travail d’intérêt publique !!!!

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Il y a quelques années j’ai fait une mission de conseil informatique, relativement longue (2 ans), à l’AFP, et je me rappelle bien d’une chose :
 tous les journalistes avaient un look très marqué de gauchistes, à un point que c’en était vraiment étonnant.

À la cafèt’ c’était même un moyen infaillible de reconnaître les journalistes des techniciens et des informaticiens :
 si un gars montrait un peu de virilité ou de droiture, c’était un technicien ou un informaticien ;
 et si au contraire il avait un physique et un accoutrement de gauchiste, c’était un journaliste ;
 et pour les filles, c’était encore plus facile, car les filles gauchistes sont anti-sexy et ont ce côté hystérico-paumé qui ne trompe pas.

> Tout le journalisme français est gangréné par le gauchisme, et ça commence à l’AFP.

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