La France s’enfonce dans la délation à la soviétique. Des étudiants de Paris I, dont on devine l’orientation politique, ont enregistré le cours d’un prof de droit qui parlait du mariage homosexuel. Cela a suffi pour le coller au poteau de la bien-pensance, et la Kommandantur socialo-sioniste a fait le reste.
Des étudiants ont donc dénoncé leur prof, et c’est le site trotskiste Révolution permanente (au service de la Banque) qui a relayé ce qu’ils considèrent comme un crime idéologique. Pourtant, quand on écoute le discours du prof, il n’y a rien de répréhensible, à peine une pointe d’ironie mordante.
Quant à la discrimination, elle est partout dans la nature, et bon courage au législateur pour faire entrer la cruauté de la nature dans le droit et la corriger. La chose qui nous rassure, c’est que ceux qui vivent en général de la délation meurent de la délation.
Cette affaire montée de toutes pièces par les ligues trotskistes qui cherchent à faire régner la terreur rouge dans les facs rappelle la campagne anti-Lugan à la fac de droit de Lyon III. Il y a 16 ans, Libé relayait le sale boulot de délation pour le pouvoir profond :
« Plutôt que des révélations, le travail devrait contenir des analyses sur les nombreux dérapages qu’a connus l’université jusqu’aux années 90. Tous les courants de l’extrême droite y étaient alors représentés, des ultracatholiques aux néopaïens. Tellement installés que les pratiques n’étaient plus très discrètes. Bernard Lugan, professeur d’histoire, se déguisait alors, en cours, en officier du 6e régiment des lanciers du Bengale, pour faire chanter l’hymne de l’armée coloniale à ses étudiants. Quelques professeurs validaient des mémoires négationnistes. »
L’association d’extrême gauche baptisée Hippocampe ne supportant pas qu’un autre son de cloche que le socialo-sionisme existe, s’est donc battue pour obtenir la fermeture de l’Institut d’études indo-européennes. Si ce dernier était effectivement de droite nationale ou d’extrême droite, pourquoi l’extrême gauche antinationale aurait alors eu droit de cité dans la même fac ? Mais en régime totalitaire socialo-sioniste, la question de la tolérance ne se pose pas : on ne pardonne pas !
« L’institut s’est autodissous en 1998, au terme d’une enquête universitaire. Les responsables de Lyon-III estiment que, depuis, les dérives se sont arrêtées là. Selon l’association Hippocampe, les délires négationnistes ont cessé, mais l’extrême droite conserve sa capacité à recruter des enseignants proches de ses thèses. Parmi les exemples récents, Isabelle Rozet, maître de conférence depuis la rentrée 2000. Agée de 45 ans, elle a fait ses études à Lyon-III, sous la direction de Jean-Paul Allard, qui fut responsable de l’Institut d’études indo-européennes, et membre du jury qui valida, en 1985 à Nantes, la première thèse négationniste, celle d’Henri Roques. »
Depuis l’opération mondialiste « Covid-19 », une incroyable réduction de la liberté d’expression s’opère sur les réseaux sociaux, les médias mainstream (déjà nettoyés à mort) et les établissements éducatifs. Plus rien n’échappe au grand nettoyage décidé par le pouvoir profond, visé par la nouvelle fronde sociale et nationale.
- Quand la Sorbonne fait sous elle sous la pression d’une minorité faussement discriminée
Les étudiants d’extrême gauche auront beau dénoncer leurs profs mal-pensants, comme pendant la Révolution culturelle ou le communisme de guerre, l’exécutif aura beau mentir sur l’épidémie pour tenir la tête des Français sous l’eau, les GAFA auront beau effacer tout ce qui ne pense pas socialo-sioniste, rien n’empêchera un grand mouvement de révolte contre cette nouvelle dictature globale qui en plus se fait passer pour le Bien, l’Humanisme, et cache sa bassesse morale derrière la lutte contre les discriminations, ce qui signe la dictature des minorités.
Les délateurs de la Sorbonne sont les petits bras armés du maccarthysme socialo-sioniste actuel. Ils finiront eux aussi dans les poubelles de l’Histoire, comme leurs aînés. Sinon dans les fours de la Loubianka. Mais c’est une image.