Serge est un bon gars. C’est sûrement pas un sociopathe, il a un coeur qui saigne.

Un sociopathe se serait exprimé plus froidement.
C’est un reportage sur l’Aryan Brotherhood, qui m’a fait connaître Miyamoto Musashi.
Le ciel, au-dessus de nos têtes, c’est ça que je regardais, dans les cours de prison...

Répondre à ce message

Plus je le vois le Ayoub, plus je le trouve bien.

Franchement, il me surprend en bien.

Répondre à ce message

J’aime bien vers la 21ème minute, démocratie authentique avec mandat impératif, de quoi pâmer un Etienne Chouard, dommage qu’il soit stipendié par l’Education Nationale.

Merde quand même JNR et 3eme voie ca avait l’air surper intéressant comme mouvement, dommage pour la dissolution.

Répondre à ce message

Un seul mot : Bravo ! Encore une fois, je salue Serge Ayoub, un Homme debout. Si l’on doit retenir une seule phrase de cette magnifique intervention, c’est celle-ci :
« Nos gouvernants ne comprennent pas le mot honneur et ne peuvent concevoir le monde autrement qu’en basses manoeuvres. »
Tout est dit.

Répondre à ce message

Valls pousse le peuple français à la révolution, il va finir par l’avoir...

Répondre à ce message

C’est une histoire de fou. Incroyable. Alors il y a des lois, et puis en fait il n’y en a pas ! La démocratie dans toutes les bouches étatiques, et la dictature par les actes. Une dictature fourbe parce qu’ils sont d’une lâcheté à toute épreuve. C’est signé, pas de doute !

Répondre à ce message

Serge Ayoub ferait mieux de se réveiller.
Sa génération n’a jamais connu la démocratie ; on a vécu dans une illusion depuis 40 ans.

Répondre à ce message

Il est couillu le Serge. Dieu sait pourtant qu’il pourrait retourner sa casaque et s’en mettre pleine la fouille en cognant sur le nouveau " fasciste" désigné comme telle par le système, l’arabe ou le musulman...
Respect total pour l’homme

Répondre à ce message

Cette affaire est une vraie affaire d’Etat. Le Conseil d’Etat a montré récemment, particulièrement dans l’affaire Dieudonné, qu’il n’était pas en mesure de tenir son rôle de garant juridictionnel des libertés publiques, de protecteur des citoyens contre les abus de la puissance publique. La construction institutionnelle française est telle qu’elle repose sur le respect par le pouvoir des instances chargées du contrôle de son action, particulièrement au regard de sa conformité à la loi. Cette fragilisation qui s’appuie évidemment sur des magistrats fonctionnaires dont certains agissent en véritables partisans du pouvoir et non pas en professionnels du droit et de l’intérêt public, s’apparente à un véritable coup d’état. Les "arguments" du rapporteur montrent la gêne dans laquelle il se trouve d’avoir à proposer de sanctionner une décision prise par son ministre-président au point d’employer un argument très inquiétant, qui équivaut à une proposition de quasi auto-dissolution de la haute juridiction administrative si elle le suit, à savoir que l’Etat ne peut pas revenir en arrière et reconnaître le droit de tous les citoyens à être traités conformément à la loi.
Cette atteinte à l’indépendance d’une des instances suprêmes sur lesquelles repose l’état de droit en France, et donc la République, est très inquiétante. C’est le signe d’une main-mise par une oligarchie sur l’Etat. Si jamais (mais je partage les craintes de Serge Ayoub) la haute juridiction devait suivre son rapporteur et rejeter le recours au fond déposés par les mouvements dissous, il conviendrait d’amplifier par tous les canaux possibles l’information des français sur cette atteinte structurelle à leur capacité à défendre l’exercice de leurs libertés publiques. Dans le cas contraire ce serait un grand soulagement pour tous les républicains démocrates.

Répondre à ce message

Courage Serge ! La vraie France est avec toi !

Répondre à ce message