Le Blog Resistance71 a traduit ici un article paru sur InfoWars.Com et qui est un résumé des grandes lignes de la longue interview donnée par le Dr. Steven Pieczenik, un des pontes de la communauté du renseignement états-unien qui oeuvra sous trois présidents différents (Nixon, Ford et Carter et sous trois secrétaires d’état qui laissèrent leur marque dans l’histoire US : Henri Kissinger, Cyrus Vance et George Schultz, tous membres du CFR et de la commission trilatérale, le Dr Pieczenik ayant étant lui-même membre du CFR de nombreuses années).
L’interview de plus de deux heures (1h45 ici sans les pubs en 7 segments de 15 minutes) est une des plus incroyables interviews de ces dernières années où Pieczenik a reconfirmé ce qui est su dans la communauté du renseignement et… des médias alternatifs, à savoir que Ben Laden est mort en 2001 peu de temps après le 11 Septembre, et qu’il n’a rien à voir avec cet évènement, qui fut planifié et exécuté par un groupe de politiciens et de militaires renégats, perpétrant sous couvert, un coup d’état larvé qui fit basculer le pouvoir aux mains du capitalisme hyper-oligarchique.
Nous encourageons vivement tous ceux et celles qui peuvent écouter cet interview en anglais de le faire, car elle constitue un grand moment de journalisme et sans doute un tournant dans l’histoire moderne, l’avenir le dira.
Nous pensons, à Résistance 71, que le Dr Pieczenik est de fait la voix de la dissidence au sein de l’armée états-unienne (dont il se représente) qui n’accepte pas ou plus ce qui se passe et ne peut parler en vertu des principes militaires bien connus qui font de toutes les armées du monde de « grandes muettes », surtout en ce qui concerne leurs psyops et autres opérations spéciales classifiées.
Il est grand temps de cesser de croire en les balivernes officielles, de questionner « l’inquestionnable », de pomper les écrans de fumée de la propagande colportés par des médias complices ou désespérément aveuglés et de dire NON aux ignominies perpétrées en notre nom, celui des peuples dont la souveraineté a été usurpée et bafouée depuis trop longtemps par les intérêts particuliers du plus petit nombre.
Une source haut placée dans la pyramide du pouvoir états-unien, le Dr. Steve R. Pieczenik, un homme qui a tenu différentes positions d’influence sous trois présidents différents des Etats-Unis et qui travaille toujours pour le ministère de la défense, a dit sans ambage sur le Alex Jones Show hier qu’Ossama Ben Laden était mort en 2001 et qu’il était préparé à témoigner devant un grand jury sur le fait qu’un général lui a directement confié que le 11 Septembre était une opération planifiée par le gouvernemernt des Etats-Unis.
Pieczenik ne peut pas ête qualifié de “théoricien du complot”. Il a servi comme vice-assistant au secrétaire d’état américain sous trois différentes administrations, Nixon, Ford et Carter, et il a également travaillé sous Reagan and Bush sénior ; il est toujours consultant pour le ministère de la défense US. Ancien capitaine de la marine US, Pieczenik a obtenu deux récompenses Harry C. Solomon prestigieuses à la faculté de médecine de Harvard tout en faisant en même temps un doctorat (Ph.D) au MIT (Massachussets Institute of Technology).
Recruté par Lawrence Eagleburger comme adjoint assistant secrétaire d’état à la gestion, Pieczenik développa “les bases fondamentales de la guerre psychologique, du contre-terrorisme, des stratégies et tactiques pour les négociations transculturelles du département d’état, pour l’armée, les communautés dub renseignement et autres agences du gouvernement américain.”, tout en développant également des stratégies fondamentales pour le sauvetage d’otages, théories qui furent employées de par le monde par la suite.
Pieczenik fut aussi planificateur politique en chef sous les secrétaires d’état Kissinger, Cyrus Vance, George Schultz et James Baker ; il travailla également sur la campagne électorale de Georges W. Bush contre Al Gore. Ses états de services soulignent le fait qu’il est une des personnalités les plus connectées dans le cercle du renseignement et ce depuis les trente dernières années.
Le personnage de Jack Ryan, qui apparait dans les romans de Tom Clancy et qui fut incarné à l’écran par Harrison Ford damns le film Patriot Games (1992), est aussi fondé sur la vie et la carrière de Steve Pielczenik.
En Avril 2002, il y a plus de neuf ans donc, Pieczenik déclara dans le Alex Jones Show que Ben Laden était “déjà mort depuis des mois” et que ce gouvernement attendait le moment le plus propice politiquement pour sortir le cadavre du placard. Pieczenik était en position de savoir, ayant personnellement rencontré Ben Laden et travaillé avec lui pendant la guerre par procuration contre les soviétiques en Afghanistan au début des années 1980.
Pieczenik dit alors que Ben Laden mourru en 2001, “non pas à cause des forces spéciales, mais parce qu’en tant que médecin, j’ai su que les médecins de la CIA l’avaient soigné et que c’était sur les tablettes de l’agence qu’il souffrait du syndrome de marfan”, ajoutant que le gouvernement américain savait que Ben Laden était mort avant même d’envahir l’Afghanistan.
Le syndrome de Marfan est une maladie dégénérative contre laquelle il n’y a pas de guérison possible. La maladie réduit considérablement la durée de vie du patient.
“Il est mort du syndrome de marfan, Bush junior le savait, la communauté du renseignement le savait”, déclara Pieczenik à l’époque, notant au passage que les médecins de la CIA avaient visité Ben Laden à l’hôpital américain de Dubaï en Juillet 2001.
“Il était déjà très malade du syndrome et était mourrant, ainsi personne n’eut à le tuer”, ajouta Pieczenik, faisant état du fait que Ben Laden était mort peu de temps après le 11 Septembre dans ses grottes de Tora Bora.
“Est-ce que la communauté du renseignement et médecins de la CIA on caché cette situation ? Oui, la réponse est catégoriquement oui”, dit Pieczenik se réferrant à la nouvelle de Dimanche faisant état de la mort de Ben Laden, tué dans son complexe d’habitations au Pakistan, ajoutant “Ce scenario où on voit un groupe de gens assis, regardant un écran de télé, donnant l’image d’être sous tension, est un non-sens total.” Ceci en allusion directe à la photo qui montre Obama, Clinton, Biden regardant l’opération du meurtre de Ben Laden en direct sur une télévision.
“C’est une fabrication totale, un leurre, nois somes dans un théâtre américain de l’absurde… Pourquoi faisons-nous cela encore il y a neuf ans, cet homme était déjà mort. Pourquoi le gouvernement américain se doit-il toujours de mentir à son peuple”, demande Pieczenik.
“Ossama Ben Laden était tout ce qu’il y a de plus mort, ainsi il est impossible qu’ils aient attaqués, confrontés ou tué Ben Laden”, dit Pieczenik, plaisantant sur le fait que la seule façon à laquelle cela aurait pu se produire, aurait été que les forces spéciales attaquent un cimetière.
Pieczenik a dit que la décision de lancer la supercherie maintenant a été prise car Obama a atteint un point très bas dans les sondages et de plus l’affaire de son certificat de naissance lui retourne à la figure.
“Il devait prouver qu’il était plus qu’un américain, il se devait d’être agressif”, a dit Pieczenik, ajoutany que la farce était aussi un moyen d’isoler le Pakistan en représailles à son intense opposition au programme des bombardements par les drones predators, qui a tué quelques centaines de civils pakistanais.
“Tout ceci est orchestré. Quand voua avez des gens assis en rond, regardant un feuilleton, de fait le centre opérationnel de la Maison Blanche et que vous avez un président arrivant presque comme un zombie, venant vous dire qu’ils viennent juste de tuer Ben Laden, qui est mort il y a 9 ans rappelons-le”, dit Pieczenik, “le plus grand mensonge que j’ai entendu, c’était absurde.”
Rejettant l’histoire du gouvernement comme étant une “piètre plaisanterie” aux dépends du peuple américain, Pieczenik a dit “ils sont si désepérés de rendre sa crédibilité à Obama, de nier le fait qu’il n’est peut-être pas né ici ainsi que toutes questions à propos de son passé, toute irrégularité à propos de son passé, de le rendre plausible de nouveau et le faire ré-élire, ainsi les citoyens américains ont encore été dupés.”
La suggestion que Ben Laden est mort il y a près de 10 ans est également supportée par beaucoup de professionnels du renseignement ainsi que par des chefs d’Etat à travers le monde. “Ben Laden a été utilisé de la même manière que le 11 Septembre le fut pour mobiliser les émotions des citoyens américains et obtenir une approbation pour une guerre qui devait être justifiée par un narratif que Bush junior et Cheney créèrent sur le monde du terrorisme.” A déclaré Pieczenik.
Durant cet interview avec Alex Jones hier, Pieczenik a aussi déclaré qu’un général de l’armée lui a dit directement que le 11 Septembre était une opération fausse banière et qu’il se tenait à la disposition d’un grand jury pour révéler le nom de ce général.
“Ils ont perpétré ces attaques” a dit Pieczenik, nommant Dick Cheney, Paul Wolfowitz, Stephen Hadley, Elliott Abrams, et Condoleezza Rice parmi d’autres qui ont été directement impliqués.
“Ceci fut appelé une opération fausse banière afin de mobiliser le public américain sous de fausses prétentions, ceci me fut révélé même par le général qui était dans le cabinet de Wolfowitz. J’irai devant un comité fédéral et ferai état sous serment du nom de cet individu afin que le cas puisse être ouvert”, a dit Pieczenik, ajoutant qu’il était “furieux” et “savait que cela s’était déroulé de la sorte”.
“J’ai enseigné ce type d’opérations à l’école de guerre, je l’ai enseigné a tous mes hommes de terrain, je savais donc à l’époque ce qui avait été fait au public américain.” A t’il ajouté.
Pieczenik a reconfirmé qu’il était tout à fait prêt à donner le nom du général qui lui a dit que le 11 Septembre était une opération fomentée et perpétrée de l’intérieur dans une cour de justice fédérale “ainsi nous pourrions lancer vraiment la procédure judiciaire et non pas avec cette idiotie de commission du 11 Septembre qui était une absurdité.”
Pieczenik a expliqué qu’il n’était pas un libéral, ni un conservateur, ou un membre des “tea party”, mais seulelemt un citoyen américain profondément concerné par la direction dans laquelle le pays s’oriente.