Contester des thèses ou des propositions et sans violence verbale pose un argumentaire ; surtout lorsque des éléments pris pour sa réflexion sont en même temps fournis. Par contre, ’’charabia’’ et d’autres attaques du même genre relèvent de la violence verbale dont le but est : dénigrer et non pas de contre-argumenter.
Donc, logiquement en la circonstance, il n’y a pas lieu de discuter avec quiconque à l’évidence ruse et, de façon pernicieuse, souhaite empêcher toute réflexion sur la critique d’éléments (la foi et la religion à pratiquer à la façon du système et proposées par le système) soi-disant au service des peuples pour leur libération.
De la même façon il ne sert à rien de répondre à la violence en devenant soi-même violent, l’on ne parviendrait jamais à poser et développer ses arguments.
Cela étant dit, on commence à le savoir de plus en plus. L’utilisation du dénigrement est un camouflage du système pour passer inaperçu - croit-il - et surtout, tenter d’entraver la résistance de la populace aux injustices. Oui, à l’intérieur des réseaux sociaux, c’est une pratique propre aux manipulateurs qui travaillent pour le système.
Tu as bougé, je t’ai vu !
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