Permettez-moi un "hors -sujet" rapide mes amis...
Donc j’ai acheté 3 exemplaires du livre de Ratier sur "Manuel" (1 pour moi et 2 à offrir, avec consigne de le prêter à d’autres...). J’en ai profité pour m’abonner aux remarquables feuillets "Faits&Documents" (que je conseille fortement). Ne voyant rient arriver, je me suis inquiété auprès de la Librairie Facta. E. Ratier, m’a envoyé par mail les exemplaires qui me manquaient et a fait les recherches nécessaires de son côté. Vu que tout lui semblait correct pour sa part, il m’a conseillé de porter plainte auprès de la poste, ce que j’ai fait (enquête en cours et comptes rendus réguliers du service conso de La Poste en cours)... Il semblerait que "Faits&Documents" (et c’est déjà arrivé m’a dit E. Ratier) est "taxé" (volé) par des employés du service de La Poste. Comme par hasard, après ma plainte, j’ai de nouveau reçu normalement les derniers feuillets. Alors, je sais bien que du temps d’Hara-Kiri la formule était "si vous n’avez pas les moyens de l’acheter, volez-le", mais bon.
Bref, pour nos amis postiers qui nous lisent :
"Ne piquez pas ! Demandez au destinataire de vous refiler le document après qu’il l’ait lu ! (s’abonner permet toutefois de combler le manque à gagner pour Facta. Soyons solidaires au moins, et 80 € l’année, çà peut se trouver souvent), sinon effectivement, demandez.
J’ai eu l’occasion de dire à E. Ratier qu’en fait, ces inconvénients sont bien à considérer comme "La rançon de la gloire" pour le magnifique travail qu’il produit.

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Oh non ! à la fin ça coupe quand ça commence à devenir vraiment intéressant. Il n’ y aurait pas une suite ? En tous cas merci E/R.

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La grâce et la paix vous soient données de la part de Dieu le Père, le Seigneur de nous tous, JÉSUS-CHRIST,

Qui s’est donné lui-même pour nos péchés, afin de nous retirer de ce siècle corrompu, selon la volonté de Dieu notre Père,

Le Nouveau Testament, Epitre aux Galates 1 : 3-4

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D’un côté, E. Ratier en compagnie des membres de CIVITAS : la dissidence dans l’espace public.
De l’autre la petite bobo parisienne préoccupée de ranger, dans le coffre de sa Smart, ses petites courses de chez Monoprix.
Je caricature, mais c’est marrant d’assister sur ces images, à la confrontation de 2 mondes.

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La dictature c’est ferme ta gueule ! la democratie c’est cause toujours !

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La qualité du travail d’Emmanuel Ratier n’est plus à prouver, ce qu’il fait est admirable, tout est sourcé, prouvé, officiel.
C’est également ce qui rend fous et dangereux, ces menteurs et dissimulateurs d’en face.

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Jesus prêchait également la parole de Vérité dans la rue.. les grands médias sont réservés en priorité aux menteurs , usurpateurs et escrocs triés sur le volet

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Dédicace spéciale à Alain Soral, héritier et continuateur de la tradition française !

"Mais c’est bien Balzac qui, en la matière, a eu un rôle fondateur. C’est lui qui le premier a gravé sur le marbre les formules les plus fortes concernant le lien journalisme/prostitution. C’est lui qui en donne une expression romanesque mémorable, dans ce panoramique sur le champ littéraire que constituent Illusions perdues et Splendeurs et misères des courtisanes, complétées par les satellites du cycle, Une fille d’Ève (1839), La Muse du département (1843), Modeste Mignon (1844). C’est lui qui le premier fait se rejoindre les deux aspects complémentaires du thème : la relation métonymique du journaliste et du littérateur industriel avec les actrices, courtisanes ou filles de joie, et la prostitution métaphorique du journaliste, symbole de ses compromissions morales et de sa corruption. C’est lui aussi qui, pour longtemps, inscrit le couple journaliste/prostituée dans la vision d’ensemble d’un Paris littéraire vénal, en une époque de désenchantement sarcastique ou, du fameux « sacre de l’écrivain », on est tombé dans le charlatanisme, la « camaraderie » et la « blague ».

Voir le texte complet (ce n’est pas mon site, je viens de le trouver)
http://www.medias19.org/index.php?id=13396

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Il y a une dimension comique chez Emmanuel Ratier, pince-sans-rire dans l’abnégation...
J’aime sa façon de prendre inexorablement son temps pour s’exprimer.

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Emmanuel Ratier rend tout son titre de noblesse au métier de journaliste.
Cet homme est passionnant et on comprend aisément qu’il soit en danger.

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