L’avantage de la dystopie, c’est l’accumulation des choses imprévisibles, insolites, irréelles. Journalistiquement, c’est du miel pour les ours. Il ne faut pas non plus se faire happer par ce delirium permanent, on risque de perdre ses repères, de se perdre en colères stériles, car on ne peut pas se battre contre un événement progressiste. On peut et on doit l’analyser, le décortiquer, le replacer dans un contexte, historique, politique ou sociologique, pour ensuite mieux le digérer, sinon c’est l’intoxication assurée.

C’est pourquoi nous allons commencer ce petit tour hebdomadaire dans l’asile mondialiste par les trucs les plus cons, en apparence, mais même les trucs les plus cons ont leur intérêt, quand on pense déconstruction. Là, pour le coup, la déconstruction est une bonne chose. Sur E&R, on déconstruit ce que les progressistes construisent, si on peut appeler ça des constructions.
Inlassablement, on sabote leurs châteaux de sable. Ça plaît pas à tout le monde, mais que voulez-vous, il y aura toujours des collabos, des soumis et des idiots, et ce, jusqu’à la fin des temps.
Allez, montez dans le wagonnet, attachez vos ceintures, n’oubliez pas de refiler votre obole au Gitan de service, on démarre en musique.

Après la version déconne, la version sérieuse :

Il manque un chicot à Angus dans le clip. Didier Deschamps a été le premier sans-dent champion du monde. Il a réparé l’impair depuis. Les dents, c’est important, mais quand on n’a pas les moyens de se payer une mutuelle, ces en...treprises qui augmentent leurs tarifs en loucedé d’année en année, et qui remboursent de plus en plus difficilement ce qu’il y a pourtant d’inscrit sur les contrats, on comprend que l’expression de François Hollande, balancé(e) par la Trierweiler dans son bouquin, a de l’avenir.

Loana a l’air d’avoir une mutuelle : elle n’a plus un chicot d’origine, rapport à tout ce qu’elle s’est fourré dans le cornet, du coup on lui a collé une dentition nouvelle, mais ça altère la locution. Déjà, au départ, c’est pas une étincelle, vous rajoutez les « produits » par-dessus, plus la dentition inadaptée, et vous obtenez une dingo à poil dans un lem perdue dans l’espace :

On reste dans la Fête de la musique.

On parlait de « produits », L’Obs a recueilli les confidences d’un repenti de la coco.

On a lu le topo, car on est pros. Fredo nous explique que « la cocaïne est devenue has been ». On a aussitôt balancé nos 200 G aux chiottes et tiré la chasse : tout, plutôt que de passer pour has been.
La suite dure 4 ou 5 pages, écrit petit, on lâche l’affaire, déjà parce qu’on n’a plus de coke pour arriver au bout de la longue confession (on craint le livre). À la place, L’Obs aurait pu interroger Poutine, au lieu de lui chier dessus comme toute la presse française aux ordres du Pentagone. Aux ordres de ça (activez les sous-titres) :

(Activez les sous-titres)

Le pédo corrompu élu par fraude a probablement été piqué par une énorme mouche tsé-tsé. Ou alors par une triple dose de Bancel & Bourla. Ça devrait faire réfléchir nos élites européennes qui continuent à nous bourrer le mou avec leur merde.

Pendant que nos élites bruxelloises corrompues par le Big Tech et le Big Pharma coursent 450 millions d’Européens avec la shooteuse mondialiste empoisonnée, les gens tentent de maintenir une vie normale, alors que tout est en train d’exploser, et sous leurs yeux : prix, boulot, paix, morale, sécurité. Surréaliste.

On achète des fringues inutiles, la moindre gonzesse a 50 paires de pompes dans son placard, à l’image de Céline-la-chabraque et son entrepôt rempli de 10 000 paires. On se demande si à ce tarif on ne préfère pas Loana, fille du peuple sacrifiée par les dieux du Profit.

Avant, c’était cucul, certes, mais cent mille fois moins salingue qu’aujourd’hui, où il n’y a plus de respect. Même à la jardin-fête (garden-party) de l’Élysée pour la Fête de la musique ringarde, le chanteur a abusé.

Au moins notre président n’est pas raciste : il invite des Blacks au Château (mais pas longtemps). On va montrer à la gauche qui traite les Français de racistes depuis un demi-siècle ce qu’est vraiment le racisme.
Montez dans la machine à remonter le temps, wooosh, nous voici dans les années 50, quelque part aux USA. Âmes sensibles s’abstenir.

Il est vrai que maintenant, les choses ont un peu changé : ce sont les petits Blancs qui se font déglinguer dans les quartiers noirs.

Que fait la police ? Que fait le médiatique ? Que fait le politique ? Ben, les Eloïs s’en foutent, ça ne les concerne pas, les soucis des gens d’en bas, des Morlocks. Qui sont de toute façon condamnés au labeur, au chômage ou à la piqûre.

La chose n’arrivera pas aux enfants de Papa Ndiaye, qui fait maintenant partie de l’élite. L’élite ne se définit donc pas par sa couleur. Pourtant, elle est profondément, mortellement raciste.

Rappel : les personnes fragiles sont celles qui ont été fragilisées par le vaccin. Cherchez l’erreur...

Les vacances approchent : notre message aux abandonneurs de chiens