Egalité et Réconciliation
https://www.egaliteetreconciliation.fr/
 

Espagne : Manuel Valls manifeste aux côtés de l’extrême droite contre le gouvernement socialiste

Piquant. Manuel continue son apparente valse politique : après le socialisme pro-palestinien et l’extrême droite sioniste, l’ancien Premier ministre antifrançais [1] joue la carte du patriotisme espagnol ! Présent lors d’une manifestation contre le gouvernement en place organisée par le PP (le Parti populaire, un parti libéral-conservateur) et ralliée par les nationalistes de Vox, Manuel « el blanco » Valls se positionne désormais comme un anti-socialiste anti-indépendantiste tout en étant anti-populiste et européiste... Une sorte de Sarkozy catalan qui vise à capter l’électorat bourgeois barcelonais, très cosmopolite. Manu la tremblotte ne cessera jamais de nous surprendre.

 

 

 

Cliquez sur l’image pour découvrir la lumineuse analyse de l’écharpe rouge Christophe Barbier :

 


 

Manuel Valls, ses réseaux pour Barcelone
(extrait du numéro 454 de la revue Faits & Documents)

 

En quittant la France (dont il était le Premier ministre il y a encore deux ans) pour briguer la mairie de sa ville natale, Manuel Valls ne change pas seulement de pays, il bascule aussi politiquement en se rattachant à la droite, voire à l’extrême droite.

 

En effet, sa principale adversaire, Ada Colau, soutenue par le mouvement d’extrême gauche Podemos, ne manquera pas de rappeler que celui qui se distingua place Beauvau par sa posture antifasciste a été introduit sur la scène politique barcelonaise par Josep Ramon Bosch, directeur de la branche espagnole du géant japonais du dentifrice Sunstar, issu d’une famille où l’on milite au Frente nacional et aperçu avec son père à un rassemblement de la Fondation nationale Francisco Franco en 2013. Un temps encarté au Parti populaire, celui que le quotidien El Mundo (8 juillet) décrit comme le « cerveau de l’opération Valls » a été le principal initiateur puis le président de Somatemps, un collectif regroupant l’ensemble des sensibilités nationalistes (carlistes, nationaux-révolutionnaires, etc.) autour de la défense de l’identité hispanique de la Catalogne. C’est dans ce cercle de réflexion qu’a mûri la Société civile catalane, une plateforme fondée en 2014 et dont Josep Ramon Bosch a rapidement dû quitter la présidence après une enquête menée par la gauche indépendantiste sur son activisme radical mené sous pseudonyme sur Internet. Après une première rencontre en octobre 2017 au Circulo de Empresarios, un groupe de chefs d’entreprises opposés à l’indépendance, Manuel Valls est intervenu au mois de mars à l’invitation de la Société civile catalane. C’est là que s’est opérée la jonction avec Albert Rivera, un ancien juriste à La Caixa dont la formation centriste, libérale et européiste Ciudadanos, en se positionnant en fer de lance de la lutte contre l’indépendance, est devenue localement la deuxième force politique aux élections régionales de septembre 2015 (17,9 % des voix).

Dans les cercles patronaux gravitant autour de Ciudadanos (comme le club Twenty50), c’est Felix Revuelta Fernandez, fondateur de la société de conseil en nutrition Naturhouse qui, cet été, dans son hôtel à Marbella, a présenté à Manuel Valls sa nouvelle compagne Susana Gallardo. À peine divorcée du milliardaire Alberto Palatchi, juif sépharade d’origine turque, patron de la société spécialisée en robes de mariées Pronovias, cette dernière, richissime héritière des laboratoires pharmaceutiques Almirall, administratrice d’Abertis, de Banc of California et de La Caixa, a été présentée par Libération comme « un des meilleurs carnets d’adresses du pays ».

Pour ratisser à gauche, le « clan Valls » a coopté à la direction de la campagne Xavier Roig, chef de cabinet de l’ancien maire socialiste de Barcelone Pasqual Maragall. Bénéficiant du ralliement du Parti populaire à sa candidature, Manuel Valls est en outre soutenu par la Fondation pour l’analyse et les études sociales (FAES) du néoconservateur José Maria Aznar. Côté médias, c’est Albert Montagut, ancien journaliste au quotidien El Mundo qui occupera le poste de responsable presse de la campagne.

 


 

Quelques rappels sur Manu la tremblotte :

Pour comprendre le zèle sioniste de Manuel Valls, nous rappelons le parcours de soumission de cet ancien pro-palestinien :

 

Le vrai visage de Manuel Valls :

 

Valls éternellement lié à Israël :

 

Manu, les « whites et les blancos » :

 

La vérité sur Manuel Valls :

Notes

[1] La France du CRIF, de la LICRA, de la franc-maçonnerie et du Bilderberg.

Voir aussi, sur E&R :

 






Alerter

54 Commentaires

AVERTISSEMENT !

Eu égard au climat délétère actuel, nous ne validerons plus aucun commentaire ne respectant pas de manière stricte la charte E&R :

- Aucun message à caractère raciste ou contrevenant à la loi
- Aucun appel à la violence ou à la haine, ni d'insultes
- Commentaire rédigé en bon français et sans fautes d'orthographe

Quoi qu'il advienne, les modérateurs n'auront en aucune manière à justifier leurs décisions.

Tous les commentaires appartiennent à leurs auteurs respectifs et ne sauraient engager la responsabilité de l'association Egalité & Réconciliation ou ses représentants.

Suivre les commentaires sur cet article

Afficher les commentaires précédents
  • Où est le probléme, c’est un politicien professionnel.
    Son but c’est la politique peu importe laquelle.

     

    Répondre à ce message

  • D’indignité en indignité, jusqu’au bout !

    Le slogan de campagne qui sied à ce triste sire...

     

    Répondre à ce message

  • Si l’Espagne n’est pas totalement gangrenée par les Médias corrompus et les journalistes prostitués, il suffit d’un seul assez percutant pour dévoiler à la foule la véritable nature de Manuel Valls, son opportunisme sans limite, son arrivisme éhonté, sa mauvaise foi inégalée, sa soumission aux lobbies sionistes et à la franc maçonnerie... dans le seul but de décrocher un poste en vue, je crois qu’il rebrousserait chemin en rasant les murs et en esquivant les tartes à la crême ou sans.

     

    Répondre à ce message

  • J’avais vu,par hasard,le flash info qui causait d’une manif à Madrid....Info sans intérêts,à première vue...Puis,je me suis dis que si cette chaîne insistait,c’était,surement pour parler de Valls...Mais point de Manu.....Et vl’à qu’il rapplique sur un autre canal..C’était évident...et confirmé..Les chaines info ont leur champion !

     

    Répondre à ce message

  • #2142787

    Valls s’est déjà fait griller en Espagne. Le journaliste-gourou de la droite libérale-sioniste, Federico Jimenez Losantos, ne l’aime guère car Manu a essayé de faire le coup de « pas de pacte électoral avec l’extrême droite » (en l’ocurrence le folklorique parti national-sioniste VOX) si son parti (Ciudadanos) n’atteint pas la majorité nécessaire aux élections municipales à venir. Cela a exaspéré la droite sociologique espagnole, plutôt pro VOX, qui suit aveuglément les consignes de certains communicateurs comme Jimenez Losantos.

    Lui et son parti (Ciudadanos), une mauvaise copie de LREM qui ne dissimule même pas ses inféodations oligarchiques (UE, Soros, Bilderberg, etc), ont été ridicules en présentant VOX comme le FN espagnol et après en manifestant « à côté » d’eux... Hereusement, Valls ne fait que plomber Ciudadanos. Depuis qu’il est là, la droite sociologique espagnole s’en méfie et il y a deux cadres de son parti (Begoña Villacís et Inés Arrimadas), désespérées de voir comment Valls est en train de « flinguer » son parti chéri.

    En ce qui concerne VOX, tout a été dit par un autre intervenant : il s’agit de la droite nationale-sioniste qui devrait cartonner lors de prochains comices. Néanmoins, à côté des « néoconservateurs » comme Rafael Bardají, libéraux économiques comme Iván Espinosa et sionistes éhontés comme la femme d’Espinosa, Rocío Monasterio ; il y a des gens en second plan comme Fernando Paz, historien de tendence anti-libérale et de père phalangiste, ce qui équilibre un peu la balance...

     

    Répondre à ce message

  • On a moins entendu Barbier quand le même Valls défilait un certain jour de novembre au côté de Netanyahu et d’autres tristes sires du même acabit. Là on tapait pourtant dans la grosse galette, hein qu’est-ce que t’en penses Cricri ? Je n’ai pas souvenir de t’avoir entendu miauler à cette occasion. T’es plus Charlie charlot ?

     

    Répondre à ce message

  • Plateforme, cercle, parti, rassemblement, fondation... Au bout d’un moment, j’en suis désolé mais... Dieu que la politique m’emmerde, c’est terrible !
    Tant pis i ca ne passe pas la modération.
    J’aurais essayé.

     

    Répondre à ce message

  • Mon pays, celui de Balzac, Lafontaine, Molière, La France n’est en mesure d’être reprensentée à l’etranger que par des abominations, politique ou artistique : Bilal Hassani ou Manuel Valls...
    J’ai honte, vraiment j’ai honte !
    Et mon arrière grand-père gazé à la 1ere guerre et Mort pour la France le 3 juin 1944. J’ai envie de vomir !!!!Tout ça pour ça !!

     

    Répondre à ce message

  • La photo d’El blanco sous le titre de votre article,
    quel air démoniaque !!Ca fait peur !
    Il porte son état d’esprit sur son visage comme dit A.S

     

    Répondre à ce message

  • #2143652

    Le parfait opportuniste, qui démontre que les carriéristes de la politique ne s’intéressent nullement à servir le peuple mais à se servir !
    Il continue à coûter un pognon dingue aux cotribuables de par son statut de député,premier sinistre et etc...

    Ce français de papier venu en france uniquement par intérêt comme pratiquement tous les immigrés, n’aurait jamais dû gouverner la france.Il est anormal qu’un étranger dirige les français.

     

    Répondre à ce message

Afficher les commentaires précédents